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Services
Translation, Editing/proofreading, Software localization, Voiceover (dubbing), Subtitling, Transcription, Training
Compétences
Spécialisé en :
Histoire
Finance (général)
Art, artisanat et peinture
Certificats / diplômes / licences / CV
Sports / forme physique / loisirs
Général / conversation / salutations / correspondance
Tourisme et voyages
Droit (général)
Org / dév. / coop internationale
Enseignement / pédagogie
Autres domaines traités :
Transport / expédition
Publicité / relations publiques
Gouvernement / politique
Droit : taxation et douanes
Journalisme
Médecine : soins de santé
Ordinateurs : systèmes, réseaux
Entreprise / commerce
Droit : brevets, marques de commerce, copyright
Généalogie
Économie
Investissement / titres
Navires, navigation, marine
Marketing / recherche de marché
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Bénévolat / Travail pro bono
Est disponible pour travailler bénévolement pour des organisations à but non lucratif enregistrées
Tarifs
anglais vers français - Tarif standard : 0.18 EUR par mot / 35 EUR de l'heure tagalog vers français - Tarif standard : 0.18 EUR par mot / 35 EUR de l'heure latin vers français - Tarif standard : 0.18 EUR par mot / 35 EUR de l'heure allemand vers français - Tarif standard : 0.18 EUR par mot / 35 EUR de l'heure français vers anglais - Tarif standard : 0.18 EUR par mot / 35 EUR de l'heure
positif Blue Board outsourcer (10 to 20 entries): Thanks.
Editing/proofreading Volume : 1 days Terminé : Dec 2008 Languages: français vers latin
Proofreadinga translation from French into Latin
Transport / expédition, Ressources humaines, Droit (général)
Pas de commentaire.
Translation Volume : 700 words Terminé : Oct 2008 Languages: anglais vers français
Villas, collections et jardins anciens dans la Rome du XVIè siècle
Histoire, Tourisme et voyages
neutre Larrass Translations: Good work. Unfortunately, Philippe is only available for approx. 300 words/day and can thus not be called upon for standard timeline work.
Philippe ROUSSEAU: Sorry, but I translated not 300, but 650 words in one day.Translation is not my main work. I can give and already gave satisfaction in timeline translations for a much bigger volume of words.
Translation Volume : 2 days Terminé : Sep 2008 Languages: anglais vers français
Directives européennes relatives à des fournitures de peinture et de coloriage
Art, artisanat et peinture, Droit : brevets, marques de commerce, copyright, Org / dév. / coop internationale
Editing/proofreading Volume : 1 days Terminé : Mar 2008 Languages: anglais vers français
La Gloire de Saint-Eusèbe, Huile sur toile, Anton Raphael Mengs
Histoire, Art, artisanat et peinture
neutre Blue Board outsourcer (20 to 50 entries): Bonne traduction, mais localisation insuffisante; jugement définitif reporté
Translation Volume : 1700 words Terminé : Mar 2008 Languages: anglais vers français
Interview with Dr Shirley Thomson - Memories about exhibitions of a Museum
Photographie / imagerie (et arts graphiques), Art, artisanat et peinture
neutre Unlisted : Pas de commentaire.
Translation Volume : 1 pages Terminé : Nov 2007 Languages: latin vers français
Acte de baptême
Religions, Certificats / diplômes / licences / CV
positif Linguaction : He is good translator. We appreciate his translations. He respect the deadlines.
Philippe ROUSSEAU: Thank you very much. I appreciate working with you. Thanks to you, I feel encouraged to completely convert into translation !
Translation Volume : 1550 words Terminé : Nov 2007 Languages: allemand vers français
"Tricksen, Tarnen, Täuschen"
Brevets, Finance (général), Génie et sciences pétrolières
positif LINGUACTION: Good job. I recommend Philippe for a quality translation.
Philippe ROUSSEAU: High gratefulness towards you for your appreciations about my very first German-French professional translation ! It is a joy to work with you !
Translation Volume : 150 words Terminé : Nov 2007 Languages: latin vers français
Philippe ROUSSEAU: I am glad you so much appreciated my job. Working for you is agreeable to me, indeed ! I appreciated your cordial contact and your prompt payment. I will rejoice translating other documents for you !
Translation Volume : 2000 words Terminé : Aug 2007 Languages: anglais vers français
Philippe ROUSSEAU: Your translation was interesting and highly motivated me. I appreciate the good contacts I have with you. I would be glad to work for you again !
Translation Volume : 1 pages Terminé : Aug 2007 Languages: latin vers français
Diplôme d'Ingénieur de l'Université du Nouveau-Brunswick
positif Nadia Montrose: Philippe did a great job reviewing the document. Nice working with him. Highly recommended.
Philippe ROUSSEAU: Thank you very much, Nadia ! I am very grateful to you, concerning your comments about my work !
Editing/proofreading Volume : 30 hours Terminé : May 2007 Languages: anglais vers français
Pièces de théâtre de Charles Tanner
Général / conversation / salutations / correspondance, Poésie et littérature
Pas de commentaire.
Translation Volume : 100 words Terminé : Apr 2007 Languages: latin vers français
Praeses et Curatores Collegii Vassarini in Novi Eboraci Finibus
Certificats / diplômes / licences / CV
positif Joerg Wichmann, Lengua Translatioons: Thank you.
Philippe ROUSSEAU: I am pleased with our collaboration. I hope I will work for you again soon
Translation Volume : 1 pages Terminé : Sep 2006 Languages: latin vers français
Testimonium Ortius et Baptismi/ Déclaration de naissance et de baptême
Généalogie, Droit (général), Autre
Pas de commentaire.
Translation Volume : 2 pages Terminé : Jun 2006 Languages: allemand vers français
Dresden Museum/ Le Musée de Dresde
Tourisme et voyages, Histoire, Art, artisanat et peinture
Pas de commentaire.
Translation Volume : 34 pages Terminé : May 2006 Languages: anglais vers français
The Coming Anarchy/L'anarchie approche, par Robert D. Kaplan
Traduction effectuée pour l'Institut National des Hautes Etudes de Sécurité (INHES)
Économie, Org / dév. / coop internationale, Gouvernement / politique
Pas de commentaire.
Translation Volume : 3 pages Terminé : Mar 2006 Languages: anglais vers français
Agreement dated 1st December 1999/ Accord en date du 1er décembre 1999
Traduction effectuée pour l'Institut National des Hautes Etudes de Sécurité (INHES)
Droit : contrat(s)
Pas de commentaire.
Translation Volume : 15 pages Terminé : Mar 2006 Languages: anglais vers français
EPCIP European Programme for critical Infrastructure Protection/ Programme europ
Traduction effectuée pour l'Institut National des Hautes Etudes de Sécurité (INHES)
TI (technologie de l'information), Org / dév. / coop internationale, Gouvernement / politique
Pas de commentaire.
Translation Volume : 5 pages Terminé : Feb 2006 Languages: anglais vers français
Hurricanes Katrina and Rita : scientific surprises and policy failures
by Michael K. Lindell et Carla S. Prater
Traduction effectuée pour l'Institut National des Hautes Etudes de Sécurité (INHES)
Géologie, Gouvernement / politique, Construction / génie civil
Pas de commentaire.
Translation Volume : 6 pages Terminé : Feb 2006 Languages: anglais vers français
Sinking out of Sight, by Brian Christie
Traduction effectuée pour l'Institut National des Hautes Etudes de Sécurité (INHES)
Histoire, Géologie, Gouvernement / politique
Pas de commentaire.
Translation Volume : 4 pages Terminé : Jan 2006 Languages: anglais vers français
Ethics and Media Commentators, by Mike Grannatt and Patrick Lagadec
Traduction effectuée pour l'Institut National des Hautes Etudes de Sécurité (INHES)
TI (technologie de l'information), Journalisme, Autre
Pas de commentaire.
Translation Volume : 80 pages Terminé : Dec 2005 Languages: allemand vers français
Islamistischer Terrorismus : eine Herausforderung für die internationale Staaten
Gouvernement / politique, Religions
Pas de commentaire.
Translation Volume : 4 pages Terminé : Nov 2005 Languages: anglais vers français
Material Safety Data Sheet : MSDS Lipidol Powder 50
Médecine : médicaments, Chimie / génie chim.
Pas de commentaire.
Translation Volume : 3 pages Terminé : Sep 2005 Languages: espagnol vers français
Comision rogatoria
Droit (général)
Pas de commentaire.
Translation Volume : 2 pages Terminé : Jun 2003 Languages: tagalog vers français
Manggamot Si Linta/La sangsue médecin
Sciences (général), Zoologie
Pas de commentaire.
Translation Volume : 2 pages Terminé : Jun 2003 Languages: tagalog vers français
Ang Reyna Elisabeth sa Paris/ Visite de la Reine Elisabeth à Paris
Journalisme, Gouvernement / politique
Pas de commentaire.
Translation Volume : 10 pages Languages: anglais vers français
The Philippines in the 6th to the 16th centuries, par Eufemio.P. Patanňe
Traduction en cours
Anthropologie, Archéologie, Histoire
Pas de commentaire.
Translation Volume : 29 pages Terminé : Jun 2006 Languages: anglais vers français
Grant application form, Projects, AGIS Programme 2006, by European Commission
Traduction effectuée pour l'Institut National des Hautes Etudes de Sécurité (INHES)
Org / dév. / coop internationale, Militaire / défense, Gouvernement / politique
Pas de commentaire.
Translation Volume : 21 pages Terminé : May 2006 Languages: anglais vers français
"Sécurité et solidarité au nord de l'Europe : quelques spécificités nordiques"
Traduction effectuée pour l'Institut National des Hautes Etudes de Sécurité (INHES)
Org / dév. / coop internationale, Militaire / défense, Gouvernement / politique
Pas de commentaire.
Translation Volume : 16 pages Terminé : Feb 2006 Languages: anglais vers français
The Semantic Web-foundations of Net-centric Warfaren by Mac Donald Bradley
Traduction effectuée pour l'Institut National des Hautes Etudes de Sécurité (INHES)
Ordinateurs : systèmes, réseaux, Militaire / défense, Gouvernement / politique
Pas de commentaire.
Translation Volume : 2 pages Terminé : Dec 2005 Languages: anglais vers français
The Prow on the Mer de Glace/ La Proue sur la Mer de Glace
Tourisme et voyages, Géographie
Pas de commentaire.
Translation Volume : 2 pages Terminé : Nov 2005 Languages: anglais vers français
A new era calls for a new model, by Patrick Lagadec and Erwann Michel-Kerjean
Traduction effectuée pour l'Institut National des Hautes Etudes de la Sécurité et de la Justice (INHESJ)
Métrologie, Ingénierie (général), Gouvernement / politique
Pas de commentaire.
Translation Volume : 2 pages Terminé : Sep 2005 Languages: anglais vers français
Conceptual instrument to counter ideological support to terrorism, by Yves Boyer
Traduction effectuée pour l'Institut National des Hautes Etudes de Sécurité (INHES)
Religions, Histoire, Gouvernement / politique
Pas de commentaire.
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anglais vers français: A new era calls for a new model General field: Sciences sociales Detailed field: Gouvernement / politique
Texte source - anglais A new era calls for a new model
Patrick Lagadec and Erwann Michel-Kerjan International Herald Tribune
TUESDAY, NOVEMBER 1, 2005
In September, one of us was looking at the ravages of Hurricanes Katrina and Rita, while the other was in China discussing the potential impacts that the eruption of a new flu pandemic could have on dozens of other countries. Though these two events are distinct in several aspects, they are also similar in their fabric as the new types of crises to be faced. As such, they embody a fundamental challenge: a qualitative jump from local to global risks.
Two dimensions have to be considered. First, a new scale in destruction. Beyond the human tragedy, Hurricane Katrina is the most costly event in the history of insurance worldwide (at $50 billion to $60 billion, more than the total insurance payments for the terrorist attacks of Sept. 11, 2001, and for Hurricane Andrew in 1992, the two previous record holders). It is also the event that has mobilized the most federal aid provided in the wake of a disaster: $60 billion, and more is to be expected.
The other dimension is a growing interdependency. The increasing competitiveness and globalization of economic and social activities are being tied together with just-in-time processes and interconnected operations. That has bred a new type of risk: interdependent threats, which will require coordinating complex multi-actor decision-making.
The hurricanes had immediate impacts and will have long-lasting collateral effects on several markets outside the United States (including oil, gas, airline and, of course, insurance).
Similarly, the SARS episode in 2003 was not a Chinese-only crisis: In less than three months it affected 30 countries. The 9/11 terrorist attacks were not exclusively a U.S. crisis either, as illustrated by new attacks in Madrid, London and Bali.
We have been studying crises for years, but this is a whole new ball game. Most people can deal with well-known risks that could have a local impact. As a result, most crisis management tools developed over the past 20 years are based on the outdated assumption that risks are always formatted: i.e that it is possible to list all untoward events that could happen, determine their probability based on past experience, and measure the costs and benefits of specific mitigation measures.
But the hallmarks of the current brave new world include more and more unthinkable events, new contexts we have not seen before and the pressure to react extremely quickly, even under ignorance of the impacts such actions will have.
The time has come to be creative. A first step is the recognition that the challenges of large-scale risks and crises have become vital strategy and policy issues for major stakeholders (firms, governments, nongovernmental aid organizations and the media). Then, the key might lie in the ability to imagine and act more collaboratively, as both the official inquiry into mad-cow disease in Britain and the 9/11 Commission in the United States made very clear.
Some positive examples?
In the aftermath of the 2001 anthrax crisis, which raised fundamental questions on the security of postal services worldwide (real cases or thousands of false alerts), we suggested launching an international debriefing process. Our strategic goal was to establish some identifying hallmarks to help postal operators at the highest executive level to manage the new arena of emerging vulnerabilities, and further, to define and test innovative collective action to address global-scale issues. Although initially undertaken for a few postal operators ( in Britain and France), executives rapidly stepped in from postal services in the United States and more than 25 countries in Europe, as well as from international trade associations.
This initiative had quantifiable results (for example, the creation of a global Web-based alert and information-sharing platform) and was viewed as a groundbreaking opportunity by participating decision makers.
The platform passed its first test the very day it became operational, with a new anthrax alert in the Washington area.
This initiative also reinforced trust - a crucial element when collectively preparing to face the unknown. We urge similar collective actions to be launched systematically after each major destabilization; this is the only proven way to be better prepared to cope next time.
Rather encouragingly, we have observed an important move over the past few years: Better than leaving risk managers to tackle these issues alone, a number of companies have recognized their strategic aspect and have now put them on their board agendas. International organizations, like the Organization for Economic Cooperation and Development and the World Economic Forum in Davos, Switzerland, have now also made these large-scale risk issues a priority in their future action plans.
These new initiatives could lead others to act as well and, eventually, tip a whole new way of managing these events.
In his famous "Art of War," written some 2,500 years ago, the great thinker Sun-Tzu explained how war is not merely a question of emergency, but rather of knowledge and encompassing strategy. The same can be said of today's emerging crises. As they are very likely to modify the global fabric of our future, a new "Art of Crises" is urgently needed.
The 2005 hurricane season in North America was just the latest signal. Could avian flu be next?
Patrick Lagadec is director of research at the École Polytechnique in Paris and a founding member of the European Crisis Management Academy. Erwann Michel-Kerjan is a senior research fellow at the Center for Risk Management and Decision Processes, the Wharton School, University of Pennsylvania. They are co-authors of ''Treatise on New Risks.''
Traduction - français Une nouvelle époque exige un nouveau modèle
Par Patrick Lagadec et Erwann-Michel Kerjan, International Herald Tribune,
mardi 1er novembre 2005
Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Philippe Rousseau
En septembre, l’un de nous était en train de regarder les ravages des ouragans Katrina et Rita, cependant que l’autre était en Chine en train de discuter des impacts possibles que l’irruption d’une nouvelle épidémie pourrait avoir sur des douzaines d’autres pays. Bien que ces deux évènements soient distincts à plusieurs égards, ils se ressemblent dans leur construction en tant que nouveaux types de crises à affronter. En tant que tels, ils relèvent un nouveau défi : le passage qualitatif des risques locaux aux risques globaux.
Il convient d’appréhender deux dimensions. D’abord, une nouvelle échelle de la destruction. Au-delà de la tragédie humaine, l’ouragan Katrina est l’évènement le plus coûteux dans l’histoire de l’assurance à l’échelon mondial (entre 50 et 60 milliards de dollars). C’est plus que le total des paiements des assurances pour les attaques terroristes du 11 septembre 2001 ou que ceux générés par l’ouragan Andrew en 1992, les deux précédents détenteurs de records en la matière. C’est aussi cet évènement qui a mobilisé la fourniture de la plus importante aide fédérale au lendemain d’une catastrophe : 60 milliards de dollars, et ce chiffre n’est que provisoire.
L’autre dimension est une interdépendance croissante. La compétitivité croissante et la globalisation des activités économiques et sociales sont étroitement liées à des procédés de réponse au bon moment et à des opérations en réseau. Cela a introduit un nouveau type de risque : la menace collective, qui exige une coordination complexe après une prise de décision concertée entre les différents acteurs.
Les ouragans ont des conséquences immédiates et des effets (annexes) à long terme sur plusieurs marchés en-dehors des Etats-Unis, y compris sur ceux du pétrole, du gaz naturel, des lignes aériennes et, bien entendu, de l’assurance.
De même, l’épisode du SRAS en 2003 n’était pas une crise exclusivement chinoise. En moins de trois mois, il a touché 30 pays. Les attaques terroristes du 11 septembre n’étaient pas uniquement une crise américaine non plus, comme l’ont démontré les nouvelles attaques à Madrid, à Londres et à Bali.
Nous étudions les crises depuis des années, mais c’est un tout nouveau jeu de balle. La plupart des gens peuvent faire face aux risques classiques, qui peuvent avoir un impact local. Le résultat est que la plupart des outils de gestion de crise développés au cours de ces 20 dernières années sont basés sur l’hypothèse dépassée que les risques sont toujours formatés, c’est-à-dire qu’il est possible d’établir une liste exhaustive des évènements malencontreux qui pourraient survenir, et de calculer les coûts et les profits de mesures d’atténuation.
Mais les signes du dernier nouveau monde courageux révèlent de plus en plus d’évènements inconcevables, de nouveaux contextes que nous n’avions pas vus avant et la mise sous pression de réagir extrêmement vite, même devant l’ignorance des conséquences que de telles actions auront.
Le moment d’être créatif est arrivé. Une première étape consiste à reconnaître que les défis des risques à grande échelle et des crises sont devenus une stratégie vitale et des questions politiques pour les enjeux majeurs (entreprises, gouvernements, ONG, médias). Alors, la clé pourrait résider dans la capacité à imaginer et à agir d’une manière plus collaborative, comme les deux enquêtes officielles sur la maladie de la vache folle en Grande-Bretagne et la Commission d’enquête sur les évènements du 11 septembre aux Etats-Unis, l’ont très clairement montré.
Quelques exemples indiscutables ?
Dans les suites de la crise à l’anthrax de 2001, qui a soulevé des questions fondamentales de sécurité des services postaux dans le monde entier (des cas révélés aux milliers de fausses alertes), nous avons suggéré de lancer une procédure de compte-rendu internationale. Notre but stratégique était de constituer des signes identificateurs de l'aide aux opérateurs postaux, au niveau de la plus haute prise de décision, à gérer la nouvelle arène des vulnérabilités émergentes et, par la suite, de définir et de mettre à l’épreuve une action collective innovatrice à adresser à des publications de diffusion mondiale.
Bien qu’entreprise à l’origine pour quelques opérateurs postaux au Royaume-Uni et en France, les autorités des entreprises marchèrent rapidement au pas des services postaux des Etats-Unis et de plus de 25 pays en Europe, ainsi que des associations commerciales internationales.
L’initiative eut des résultats tangibles, par exemple, la création d’une alerte mondiale par le Web et d'une plate-forme réseau de partage des informations, et fut considérée comme une occasion (groundbreaking) par les décideurs participants.
La plate-forme réussit à son tout premier essai. Le premier jour, elle devint opérationnelle, avec une nouvelle alerte à l’anthrax dans les environs de Washington.
Cette initiative renforça la confiance, un élément essentiel lors d’une préparation collective à affronter l’inconnu. Nous poussons à lancer des actions collectives semblables après toute déstabilisation majeure. C’est la seule façon révélée d’être mieux préparé à se débrouiller la prochaine fois.
Voilà qui est plutôt encourageant, nous avons remarqué un important mouvement au cours de ces dernières années. Plutôt que de laisser les gestionnaires du risque s’attaquer à ces problèmes tout seuls, un certain nombre d’entreprises ont reconnu leur aspect stratégique et le font désormais figurer sur leur agenda administratif. Les organisations internationales, comme l’OCDE et le Forum économique mondial à Davos, en Suisse, ont maintenant fait de ces problèmes de risque à grande échelle une priorité de leurs futurs plans d’action.
Ces nouvelles initiatives pourraient amener d’autres à agir de la même façon et, en définitive, à dégager une toute nouvelle façon de gérer ces évènements.
Dans son célèbre « Art de la Guerre » écrit il y a environ 2.500 ans, le grand penseur Sun-Tzu explique pourquoi la guerre n’est pas simplement un problème d’urgence, mais plutôt de connaissance et de stratégie d’encerclement. Le même auteur pourrait dire la même chose des crises qui se mettent à jour aujourd’hui. Comme ils risquent fort de changer l’édifice mondial de notre avenir, un nouvel « Art des Crises » s’impose d’urgence.
La saison de l’ouragan 2005 en Amérique du Nord n’en est que le signal le plus récent. Se pourrait-il que la grippe aviaire soit le prochain ?
Patrick Lagadec est directeur des recherches à l’Ecole Polytechnique, à Paris, et un membre fondateur du Centre Européen de Gestion des Crises. Erwann Michel-Kerjan est un collègue chercheur senior au Centre de Gestion des Risques et des Procédés décisionnels, la Wharton School, rattachée à l’Université de Pennsylvanie. Ils sont co-auteurs du « Traité sur les nouveaux risques ».
allemand vers français: Im Residenzschloss in Dresden General field: Art / Littérature Detailed field: Histoire
Texte source - allemand Nr. 1
Bedienungsanleitung
Sprecher
Herzlich willkommen im Residenzschloss Dresden
In Ihrer Hand halten Sie Acoustiguide, ein Gerät, das Sie durch die Ausstellungsräume geleiten wird. Lassen Sie mich Ihnen kurz erklären, wie Ihr Acoustiguide funktioniert.
Sie finden an vielen Werken ein Schallsymbol mit einer Nummer. Geben Sie diese auf dem Tastenfeld Ihres Acoustiguides ein und drücken dann die große, grüne START Taste.
Sollten Sie sich vertippt haben oder einzelne Nummern überspringen oder abbrechen wollen, so drücken Sie bitte die rote, runde Taste mit dem „C“. Geben Sie dann die gewünschte Nummer ein, mit der Sie Ihre Führung fortsetzen wollen und drücken Sie erneut die grüne Starttaste.
Mit der gelben quadratischen Taste können Sie jederzeit eine Pause einlegen und, nachdem Sie wieder die grüne Starttaste gedrückt haben, im Kommentar fortfahren.
Wenn Sie die Informationen noch einmal hören möchten, so können Sie den Text mit den Pfeiltasten vor- und zurückspulen. Die Lautstärke lässt sich über die „plus“ und „minus“ Tasten regulieren.
Ich empfehle Ihnen nun, die Nummer 2 einzugeben. Professor Dirk Syndram, Direktor des Grünen Gewölbes Dresden, wird Sie dann in die Ausstellung einführen.
Nr. 2
Einführung Dirk Syndram
Meine sehr geehrten Damen und Herren, ich begrüße Sie ganz herzlich im neuen Grünen Gewölbe im Dresdner Residenzschloß. Das Grüne Gewölbe ist eines der ältesten Museen in Europa und die erste fürstliche Schatzkammer, die sich zwischen 1723 und 1729 für Besucher öffnete. Der Name „Grünes Gewölbe“ jedoch ist viel älter als das Museum. Bereits Ende des 16. Jahr wurde eine Folge von Schloßräumen im Erdgeschoss des Westflügels so bezeichnet. Es ist ein umgangssprachlicher Name, der sich von der lindgrünen Bemalung der Architekturteile herleitete. Die fürstliche Verwaltung bezeichnete diese geheimnisvollen Räume als geheime Verwahrung und nutzte sie über mehr als 150 Jahre als unzugänglichen Staatstresor Sachsens. Diese Räume, die direkt unter dem neuen Grünen Gewölbe liegen, wurden im Auftrag Augusts des Starken zu einem spätbarocken Raumkunstwerk ausgebaut und erheblich erweitert. In schließlich acht Ausstellungsräumen ließ er den ererbten und selbst erworbenen Bestand an Schatzkunst, an Goldschmiedearbeiten, Bronzestatuetten und Juwelenschmuck präsentieren. Es war die größte Sammlung dieser Art in ihrer Zeit, die wie durch ein Wunder bis heute weitgehend erhalten blieb. Zwar wurden die Ausstellungsräume im Zweiten Weltkrieg beschädigt und teilweise sogar zerstört, doch in den nächsten Jahren werden sie im alten Glanz wiedererstehen. Vereinen sich im Grünen Gewölbe August des Starken die Schätze mit der Architektur zu einem atemberaubenden Gesamtkunstwerk, so steht im neuen Grünen Gewölbe die Schönheit und die Pracht des einzelnen Kunstwerks im Vordergrund. Denn man darf nicht vergessen, dass es sich dabei um bedeutende Kunstgegenstände handelt, die über viele Generationen von kenntnisreich sammelnden Fürsten zusammengetragen wurden. Die Kurfürsten des Hauses Wettin erfreuten sich dabei ganz persönlich an der sorgfältigen Gestaltung ebenso wie am Reichtum der verwendeten Materialien. Wir wollten für Sie in der zeitgemäßen Schatzkammer des neuen Grünen Gewölbes den Zauber wieder sichtbar machen, den die fürstlichen Sammler schon vor Jahrhunderten bei der liebevollen Betrachtung Ihrer Kunstwerke empfanden. Deshalb befindet sich der sammlerische Reichtum der Vergangenheit auch in Vitrinen aus klarem, doppelt-entspiegeltem Glas, die eine nahe, ungetrübte Betrachtung von allen Seiten erlauben. Sie stehen dort, als ständen sie frei auf einem Tisch – doch Vorsicht – zwischen Ihnen und dem wunderschönen Kunstwerk ist immer noch Glas. Ich wünsche Ihnen nun einen erlebnisreichen und angenehmen Besuch, der sie in eine einzigartige Sammlung und durch zwei Jahrhunderte der Schatzkunst von der Renaissance bis zum Ende des Barocks führen wird.
Nr. 3
Kugellaufuhr
Evt. Zuspiel Musik ähnlich der der Uhr???
Sprecherin
So ähnlich mag die Musik geklungen haben, die das kleine Orchester auf der unteren Balustrade dieser Kugellaufuhr einst gespielt hat. Dieses prachtvolle Gebilde, das Kurfürst Christian II. 1603 seiner Gemahlin Hedwig schenkte, ist ein Meisterwerk der Uhrmacherkunst. Und es war zugleich eine der ersten Maschinen, die Musik mechanisch reproduzieren konnte. Kugellaufuhr heißt sie deshalb, weil genau einmal in der Minute eine Bergkristallkugel eine schräge Bahn von sechzehn Windungen hinabläuft, während ein Hebewerk im Inneren eine zweite Kugel emporhebt. Fällt diese Kugel am Ende ihres Laufs in das Turminnere, schlägt oben Saturn mit dem Hammer auf eine Glocke. Zweimal am Tag heben die Musiker auf der unteren Balustrade dann die Blasinstrumente an ihre Münder, und ein Orgelwerk im Inneren spielt eine Melodie. Hans Schlottheim, Schöpfer genialer Figurenuhren und Automaten, hat dieses Wunderwerk der Mechanik gebaut.
Sprecherin
Unten in den Sockelnischen stehen die silbernen, farbig lackierten Figuren der freien Künste: Grammatik, Rhetorik, Dialektik, Musik, Astronomie, Geometrie und Arithmetik. In den beiden Turmgeschossen können sie die Abfolge der kaiserlichen Majestäten erkennen: Sie beginnt in der Antike und endet bei Kaiser Rudolf II. Wie beim Lüneburger Spiegel, den Sie in der Ausstellung sehen können, widmet sich auch das ikonographische Programm dieser Uhr der Reichsidee.
Traduction - français 1 – Mode d’utilisation
L’Orateur
Soyez de tout cœur les bienvenus au château résidentiel de Dresde !
Vous tenez entre vos mains un guide acoustique. C’est une télécommande que vous pourrez utiliser dans toutes les salles de l’exposition. Permettez-moi de vous en expliquer brièvement le fonctionnement.
Vous trouverez dans de nombreuses salles un symbole de son avec un numéro. Sélectionnez le dans la zone des touches de votre guide acoustique, puis appuyez sur la grande touche START.
Si vous deviez faire une erreur ou omettre un chiffre ou interrompre, alors veuillez appuyer sur la touche rouge ronde « C ». Tapez alors le numéro avec lequel vous souhaitez poursuivre votre visite guidée, et appuyez à nouveau sur la touche verte.
Avec la touche carrée jaune, vous pouvez, chaque fois que vous le souhaitez, faire une pause et, après que vous ayez à nouveau appuyé sur la touche verte, poursuivre le commentaire. Au cas où vous voudriez entendre encore une fois les informations, vous pouvez rembobiner ou faire avancer le texte avec les touches des flèches. Le volume se règle à l’aide des touches « plus » et « moins »
Je vous recommande maintenant d’appuyer sur le N°2. Le Professeur Dirk Syndram, Directeur des Voûtes Vertes de Dresde, vous guidera ensuite dans l’exposition.
2 – Préambule de Dirk Syndram
Très chers Messieurs Dames, je vous salue de tout cœur sous la nouvelle Voûte Verte du château résidentiel de Dresde. La Voûte Verte est à la fois l’un des musées d’Europe les plus anciens et la première Chambre du Trésor princière à s’être ouverte aux visiteurs entre 1723 et 1729. Le nom de « Voûte Verte » est pourtant beaucoup plus ancien que le Musée. Déjà, à la fin de la 16è année (16è siècle ?), une suite des pièces du Château, au rez-de-chaussée de l’aile ouest, était appelée ainsi. C’est un nom entré dans le langage familier qui tire son origine de la peinture vert tilleul de certaines parties de l’architecture. Le gouvernement princier désigna ces pièces remplies fort secrètes comme dépôts secrets et les utilisa pendant plus de 150 ans. Elles constituaient alors le Trésor d’Etat inaccessible de la Saxe. Ces pièces, qui se trouvent directement en-dessous de la nouvelle Voûte Verte, furent restaurées en œuvres d’art de pièces d’un style baroque avancé, sur ordre d’Auguste le Grand, et considérablement élargies. C’est finalement en huit salles d’exposition qu’il fit transformer celles dont il avait hérité, et même celles qu’il avait acquises. Elles se présentaient alors comme une exposition de trésors artistiques, de travaux d’orfèvrerie, de statuettes de bronze, et de coquettes bijouteries. C’était à son époque la collection de ce genre la plus importante et, comme par miracle, elle est demeurée intacte jusqu’à aujourd’hui.
Les salles d’exposition furent sans doute endommagées au cours de la Deuxième Guerre Mondiale, et même partiellement détruites. Pourtant, au cours des années suivantes, elles furent rétablies dans leur éclat antérieur. Les trésors sont rassemblés dans la Voûte Verte d’Auguste le Grand avec l’architecture des œuvres d’art d’architecture respirant un style sobre, et c’est ainsi que résident dans la nouvelle Voûte Verte la beauté et le luxe de l’unique œuvre d’art de premier plan.
Aussi, ne doit-on pas oublier qu’il s’agit là d’objets d’art grandioses, qui furent amassés au cours de nombreuses générations princières en rassemblant des richesses de connaissances. Les princes de la Cour de la Maison Wettin se réjouirent à ce titre tout personnellement de son sa constitution vigilante, tout comme de la richesse des matériaux utilisés.
Nous avons voulu rendre à nouveau visible pour vous la magie de la Chambre du Trésor de la Nouvelle Voûte Verte au fil du temps, celle que les collectionneurs ressentaient déjà voilà des siècles, au regard admiratif de vos œuvres d’art. C’est pourquoi la richesse des collections du passé se trouve aussi dans des vitrines à vitres transparentes et doublement réfléchissantes. La plus proche peut être regardée tranquillement de tous les côtés. Elles sont là, comme si elles se tenaient librement sur une table. Pourtant, prudence ! Entre elles et l’œuvre d’art d’une merveilleuse beauté, il y a toujours un verre. Je vous souhaite maintenant une visite pleine de découvertes et agréable, qui vous conduira à une collection unique en son genre, à travers deux siècles de trésors artistiques, depuis la Renaissance jusqu’à la fin du Baroque.
3 – Trajet de la Boule
Evènement : Concert de musique ressemblant à celui de la Dernière Heure ???
La musique a tellement voulu ressembler à celle que le petit orchestre, installé sur la balustrade inférieure, en forme de boule, jouait autrefois. Cette composition magnifique, que le Prince de la Cour, Christian II adressa, en 1603 à son épouse Hedwig, est un chef-d’œuvre de l’art horloger. Et ce fut, en même temps l’une des premières boîtes à musique mécaniques. La « forme de boule » s’appelle ainsi parce qu’une fois, précisément, une boule de cristal de roche dévala un chemin oblique de 16 degrés (dévala 16 cascades sur un chemin oblique) en une minute, cependant qu’un deuxième point d’appui éjectait à l’intérieur une deuxième boule. Quand cette boule tombe en fin de course à l’intérieur de la tour, Saturne, en haut, frappe une cloche de son marteau. Deux fois par jour, les musiciens se lèvent sur la balustrade inférieure, puis c’est le tour des instruments à vent dans leurs tuyaux, et un jeu d’orgues compose à l’intérieur une mélodie. Hans Schlottheim, créateur d’horloges animées géniales et d’automates, a construit cette merveille de la mécanique.
Guide
En sous-sol, dans les soubassements, se tiennent des figures argentées, colorées vernies (laquées) des arts fondamentaux : la grammaire, la rhétorique, la dialectique, la musique, l’astronomie, la géométrie et l’arithmétique. Dans les deux tours jaillissantes, vous pouvez reconnaître la succession de Sa Majesté Impériale : elle commence dans l’antiquité pour se terminer à l’Empereur Rodolphe II.
Près du miroir de Lüneburg, que vous pouvez voir à l’exposition, le programme iconographique de cette horloge se consacre aussi à l’idée de l’Empire (Reich).
tagalog vers français: Iyak ng Pawikan General field: Sciences Detailed field: Zoologie
Texte source - tagalog Iyak ng Pawikan, Galak ng Lawin
• Ma. Carmela B. Salazar •
http://www.bwf.org/bk/tagalog/2002/03/la_03.html
Labis ang tuwa ko! Nabalitaan kong may tatlong uri ng pawikang nangingitlog sa baybay-dagat ng San Juan, Batangas. Mas natuwa ako nang malaman kong ako ang pupunta sa San Juan para manaliksik! Uy! Ekskursyon! Sa wakas! Makakakita rin ako ng pawikan! Hindi ko alam, mas gugustuhin kong hindi pumunta pagkatapos ng makikita ko.
Dahil gusto kong maintindihan ang sasabihin ng mga makakapanayam ko, ayokong pumuntang tanga. Nanaliksik muna ako at nagmayabang sa aking nakalap. May walong uri lamang pala ng pawikan sa mundo at lima rito ang nangingitlog sa baybay-dagat ng Pilipinas! (Isang tanda ng ating yamang kalikasan. Maipagmamalaki ko talagang Pilipino ako!) At 'eto pa--sa limang ito, tatlo ang makikita ko sa San Juan!
Kabilang sa lima ang Green turtle na may berdeng taba o aligi, Hawksbill turtle na may ngusong tulad ng tuka ng lawin, Olive Ridley na siyang pinakamaliit na pawikang matatagpuan sa Pilipinas, Loggerhead na may hugis-pusong bao, at Leatherback turtle na pinakamalaki sa lahat ng pawikan. Hawksbill, Green turtle at Olive Ridley ang sinasabi ng mga residenteng nakita nila sa San Juan.
May kalayuan rin ang San Juan. Halos kalahating araw akong nagbiyahe mula Alabang, Muntinlupa hanggang Barangay Hugom, ang dulo ng San Juan. Aray! Limang sakay! Pero ok lang, sa wakas! Makakakita ako ng pawikan.
Kinaumagahan, pumunta kami sa Barangay Puting Bato kung saan nangitlog ang isang pawikang Olive Ridley. Pakakawalan raw ang mga inakay sa dagat. Hindi ko inaasahan ang nakita ko: labing-walong maliliit na maiitim na pawikan ang aktibong kumakampay at nagpapatong-patong sa malabo nang tubig ng isang batya. Malansa ang amoy. Higit isang linggo na anila ang mga inakay sa batya. Hinihintay ang araw na iyon upang pakawalan ng alkalde ng San Juan at ng mga nagbibigay-pondo sa proyekto. Ito ang mga isinasakripisyong pawikan para magkaroon ng seremonya nang makita ng tao na may gumaganang proyekto. Ito ang mga pawikang panandaliang ihaharap sa kamera at itatapon sa laot para mamatay.
Ayon kay Salve Sayac, asawa ng nakahanap ng pugad, pinapakain lang nila ang mga inakay ng pira-pirasong isda. Aniya'y malilikot ang mga ito nang napisa ang mga itlog--mas malilikot pa kaysa kalagayan nila sa batya. Aniya'y sa walumpung itlog na nakita nila, labing-walo na lamang ang hindi nabugok at napisa.
Nang una, masaya ako at mababalik na sila sa dagat. Ito ay bago ko marinig ang sinabi ni Dan Torres, kasapi ng Protected Areas and Wildlife Bureau (PAWB) ng Kagawaran ng Kalikasan at Likas na Yaman o DENR. Galing rin siyang Maynila at sadyang nagpunta para makita ang proyekto ng lokal na pamahalaan ukol sa pawikan.
Ani Torres, "Kakaiba ang lakas nila paglabas na paglabas pa lamang nila sa pugad. Walang pagod na kakampay ang mga iyan patungong dagat. Maaaring tatlong araw na walang tigil sa pagkampay. Laot ang tirahan ng maliliit na pawikan, kaya kailangan nilang makarating doon."
Ngunit higit isang linggo na silang nasa batya at wala na ang kakaibang lakas na ito. Kung pakawalan man sila ngayon, aabot pa kaya sila sa laot na dapat nilang marating?
Interesante ring malamang bumabalik at bumabalik sa lugar ng kapanganakan ang mga pawikan upang mangitlog. Kung sa baybay-dagat ng San Juan ipinanganak ang isang Olive Ridley, namamasyal man siya sa ibang bahagi ng mundo, babalik at babalik ito sa San Juan kung mangingitlog na. Paano nito nalalaman ang lugar ng San Juan kung inakay pa lamang ito nang huli nitong kampayin ang nasabing baybay-dagat?
Ayon kay Torres, may maliliit na mistulang magnet sa bungo ng mga pawikan. Habang tumatakbo ang mga inakay mula pugad patungong dagat, nakakalap nila ang impormasyon--maaaring sa anyo ng electromagnetic waves--ukol sa lugar. Ginagabayan sila ng impormasyong ito pabalik sa pinanggalingan.
Dahil dito, kinuha ang mga inakay (na 'di lalaki sa isang palad) mula sa batya at pinaggapang sa baybay-dagat. Noon pa man, maiyak na ako sa katotohanang ni hindi na nila kailangang kumuha ng impormasyon ng kanilang kinaroroonan dahil hindi na sila babalik doon. Naroon ang tanong: mabubuhay ba ang mga ito? Makakarating ba sila sa laot?
Sa puntong ito, tinanong ko si Dan kung ilang bahagdan ang lakas nila ngayon sa lakas nila kung kagagaling lamang nila sa pugad. Ang sagot-- sampung porsyento. Tinanong ko kung ilang bahagdan ng mga inakay ang sa palagay niya'y mabubuhay. Ang sagot-- wala. "Pakakainin natin ngayon ang mga isda," malungkot na sabi niya.
Pero mali siya. Matapos palakad-lakarin ang mga inakay sa baybay-dagat, dinala na ang mga ito sa dagat. Nang tumalikod ang mga tao pabalik sa pampang, may isang lawing umikot-ikot pababa at kumuha ng isang lumalangoy na inakay. Hindi namin pinakain ang mga isda, pinakain namin ang lawin.
May konsolasyon ako. Binalik namin ang maliliit na pawikan sa siklo ng mga materya at enerhiya sa kalikasan.
Traduction - français LARMES DE TORTUE, JOIES D’EPERVIER
Par Ma. Carmela B. Salazar
Traduit du Tagalog par Philippe Rousseau
Je déborde de joie ! J’ai été informée que trois espèces de tortues ont pondu des œufs au bord de la mer à San Juan, dans les Batangas. Je suis encore plus heureuse de savoir que je vais à San Juan pour les observer. C’est incroyable ! Quelle balade ! Enfin, je vais pouvoir voir la tortue moi aussi ! Je ne sais pas ce que j’aurais mieux apprécié si je n’étais allé les voir.
Parce que je veux comprendre ce qui va se dire au cours des conférences à venir, je déteste y aller bêtement pour y aller. J’observe d’abord et je me cherche à bien me vendre pour être recrutée. Cela peut surprendre, mais il y a huit espèces de tortues dans le monde, dont cinq qui pondent des œufs en bord de mer ici-même, aux Philippines ! (Ceci est un signe de notre richesse naturelle. Je peux me vanter d’être une Philippine !). Et puis, parmi ces cinq espèces, j’en verrai trois à San Juan !
Parmi les cinq espèces dotées d’un dos ou d’une carapace verte, la tortue d’Hawksbill a un nez en forme de bec d’épervier. Olive Ridley la plus petite espèce de tortue des Philippines. Loggerhead, une espèce veuve à tête découverte et Leatherback la plus grande de toutes les tortues. Hawksbill, la Tortue Verte et Olive Ridley habitent à San Juan, au dire de ses habitants.
San Juan n’est pas tout près. Il y a presque une demi-journée depuis Alabang, à Muntinlupa, jusqu’au barangay de Hugorn, à l’extrémité de San Juan. Aïe ! Cinq voyages ! Bon, enfin ! j’apercevrai des tortues.
Le matin suivant, nous sommes allés au barangay de Puting Bato, où les tortues Olive Ridley ont pondu leurs œufs. Il paraît qu’on libèrerait les bébés pondus dans la mer. 18 petites tortues noires se déplacent activement et se mettent l’une sur l’autre dans une bassine en bois. L’odeur dégagée est pestilentielle, disent-ils. Pendant plus d’une semaine, les bébés tortues sont restés, tels un nid d’abeilles, dans la bassine. On attendait que le maire de San Juan et les « parrains » (sponsors) les laissent en liberté et donnent les fonds nécessaires à la réalisation du projet. Voilà les tortues offertes en holocauste, pour que nous obtenions un entretien avec les hommes qui détiennent le pouvoir de faire aboutir le projet. Voici des tortues que l’on va photographier et qui seront jetées à l’océan pour mourir.
Selon Salve Sayac, le conjoint du chercheur du nid les nourrit en leur rapportant de petits morceaux de poisson. Il dit que les œufs qui viennent d’éclore sont plus agités lors de l’éclosion que les petites tortues dans la bassine. Il paraît que, des quatre-vingts œufs qui habitent ici, 18 seulement n’ont pas été grillés ou écrasés.
Au début, je suis contente qu’on les ramène à la mer. C’était avant d’entendre à nouveau les paroles de Dan Torres, Directeur des parcs naturels (zones protégées) et bu Bureau de la Vie Sauvage (BVS), du gouvernement local de l’Environnement et de la Santé Naturelle ou DENR. Il est venu exprès de Manille,.pour voir le projet relatif aux tortues.
Ani Torres, fort différente d’eux, veut seulement les extraire du nid. Elles n’éprouvent aucune fatigue à remuer les jambes en nageant dans la mer agitée. Elles peuvent poursuivre cette marche pendant peut-être trois jours. Les petites tortues restent au milieu de l’océan, bien qu’elles veuillent arriver là-bas.
Pourtant, cela fait une semaine qu’elles ont quitté leur bassine et qu’elles n’y habitent plus. Si elles en sont débarrassées désormais, savent-elles cependant en plein milieu de l’océan, où elles doivent arriver ?
Il est aussi intéressant de savoir que les tortues retournent régulièrement à l’endroit de leur fécondation afin de pondre. Si les plages de San Juan permettent de donner naissance à une Olive Ridley, elle recevra de la visite des quatre coins du monde. Elle retournera immanquablement à San Juan si elle doit accoucher. Comment trouveront-elles le lieu de San Juan si les bébés tortues ne marchent qu’en remuant leurs jambes en bord de mer ?
Selon Torres, il y a de véritables petits aimants sur le dos des tortues. Pendant que les bébés tortues courent vite depuis leur nid en direction de la mer, ils logent une information - il est possible qu’il y ait comme des vagues électromagnétiques – à propos de leur endroit. Les informations les guident là où elles reviennent faire quelque chose de mieux.
A cause de cela, les bébés tortues, pas plus grands que la paume de la main, sont sortis de la bassine et rampent jusqu’à la plage.. On a appris qu ‘elles n’ont pas besoin de prendre l’information relative à leur lieu de provenance, parce qu’elles n’y reviennent pas. Alors, se pose la question : vivront-elles ? Arriveront-elles au milieu de l’océan ?
Sur ce point, je questionne Dan pour savoir combien conservent leurs forces maintenant puisqu’ils sortent de leur nid en bonne santé. La réponse est…10%. J’interroge pour savoir combien de bébés tortues survivront. Réponse : aucune. « Ils serviront de nourriture aux poissons », telle fut sa triste réponse.
Mais il a tort. On fait marcher les bébés sur la plage jusqu’au bout, en bord de mer. Les hommes retournent au bord de la rivière. Il y a un épervier qui n‘arrête pas de tourner en rond en volant bas, et attrape un bébé qui nage. Nous n’avons pas donné à manger du poisson, nous avons fait manger un épervier.
J’ai une consolation. Nous avons ramené les petites tortues à la nature, au cycle des matières et de l’énergie.
anglais vers français: Origin of the Ifugaos/Origine des Ifugao General field: Art / Littérature Detailed field: Poésie et littérature
Texte source - anglais ORIGIN OF THE IFUGAOS
The Ifugaos have their own version of their origin. Ifugao mythology has it that the Ifugao are direct descendants of a god of the Skyworld, Wigan. Here is the myth:
Wigan of the Skyworld looked down on earth and saw the fertile valley of Kay-ang (by the riverside of what is now called the Ibulao River). "What a pity that such land is unpopulated!" he exclaimed.
Wigan than thought out a plan to populate the earth. That night he made a house, filled it with palay, hanged several coops filled with chicken, tied pigs to all the posts, and breath a sigh of farewell to his children. He carried his sleeping children, Kabbigat and Bugan, and brought them inside the house. Then he dropped the house down to the riverside in Kay-ang.
In the morning when Kabbigat and Bugan woke up they saw that they were in a strange place. They believed that their father had grown tired of them and so had gotten rid of them. They could not go back to the Skyworld and had to live where their father had dropped them. They were brother and sister and so it was taboo for them to sleep under the same roof. At night, Bugan slept inside the house while Kabbigat slept under the house. Everyday Kabbigat went out hunting while Bugan tended the pigs and chickens and cooked their meals.
One morning as Kabbigat was feeding the chickens he saw a rooster mating with its siblings. It dawned on him that if chickens can multiply this way, then he and his sister Bugan could also multiply that way.
So that night, Kabbigat stealthily entered the house and slept with Bugan. He never spoke a word and neither did Bugan. It was very dark and Bugan could not see his face. It happened that way every night. Soon Bugan could not suppress her curiosity although she suspected it was her brother sleeping with her.
One night she put lime on her navel. True enough, the man came again and lay with her. That morning as they sat opposite each other having breakfast, Bugan saw the telltale mark. There was lime on Kabbigat's navel and her suspicion was confirmed. She then said, "Come on, let us not pretend. Let us live together and have children."
So Kabbigat and Bugan lived together but because they were gods, they first went to Lagud East to be with the gods. There they begot three children, all gods. They were Ampuwal (Source) who fathered all gods of evil; Ngilin (Taboo) who fathered the jealous gods; and Ambumabbakal (Fighter) who sired all the matungulan gods who must always be appeased as if men are indebted to them.
After a time, Kabbigat and Bugan returned to Kay-ang. Wigan looked down and smiled. He sent Ambumabbakal of the Skyworld to tell Kabbigat and Bugan that they should not feel guilty for living together even if they were siblings. Ambumabbakal also taught them the konong rituals where they offered sacrifices and invoked all the gods so they would approve this marriage of Kabbigat and Bugan.
They had five children, all mortals: Ballituk, Bugan, Aliguyon, Magappid and Naohha. Eventually, Ballituk married Bugan, Aliguyon married Magappid, but poor Naohha had no one. She was too disgusted that she vow revenge on men. She went to the East (Lagud) and married Muntalug, a maknongan. From this union came the gods of deception (Mana-haut)
Soon Ballituk and Bugan had many children: so with Aliguyon and Magappid. Their children married each other; their children and children's children intermarried and thus people multiplied. Soon the earth was overpopulated. Wigan of the Skyworld again had to do something. He said, "The earth is overpopulated."
So he sent heavy rains that flooded the earth. Everyone were drowned except two who were saved because they were washed out on the top of Mt. Amuyao. These two were Ballituk, son of Wigan who has the son of Ma-ingit of the Skyworld, and Bugan, the daughter of Amtalao who was the son of Kabbigat of Kiyyangan. As soon as the water receded, the two went down from the mountain top.
Ballituk and Bugan went to Kay-ang where the first Ifugao ancestors, Kabbigat and Bugan, were dropped by their father, Wigan of the Skyworld. They got married and begot five children: two boys, Tadona and Patiwan; and three girls, In-uke, Indungdung and Bihakon. As in the beginning, brothers married sisters. Tad-ona married In-uke and became the first parents of the people of Kiyyangan (now Kiangan), the tribe called Tuwali. Patiwan married Bihakon, and Indungdung went towards Antipolo.
Time passed. One day, Liddum (Great teacher) of the Skyworld came down to earth (presumably sent again by Wigan) and taught Ballituk and Bugan and their children how to cultivate rice properly and how to raise pigs and chickens for food and for sacrifices to the gods. He also taught them all the rituals for man and for rice culture. In due time these rites and rituals or baki became established as they were handed down from generation to generation.
As time went on and people increased and spread out, there developed a social system or structure based on kinship. Villages or settlement sprang up, usually composed of those belonging to a clan or clans grouped together for mutual protection".
Traduction - français LES ORIGINES DES IFUGAO
Les Ifugao ont leur propre version de leurs origines. La mythologie ifugao établit que les Ifugao sont les descendants directs d’un dieu du Ciel, Wigan . Voici le récit de ce mythe :
« Wigan, du Ciel, jeta un regard sur la Terre et vit la vallée fertile de Kay-ang, sur les rives de l’Ibulao actuel. « Quel dommage que ce pays ne soit pas peuplé !», s’exclama-t-il. Alors, Wigan élabora un plan pour occuper la Terre. Cette nuit-là, il construisit une maison, la remplit de riz, et suspendit quelques cages à poules remplies de poussins. Il porta ses enfants endormis, Kabbigat et Bugan, et les transporta dans la maison. Puis, il déplaça la maison au bord des rives de l’Ibulao.
Le matin, quand Kabbigat et Bugan se réveillèrent, ils virent qu’ils étaient à un drôle d’endroit. Ils croyaient qu’ils avaient fini par lasser leur père, et qu’il s’était débarrassé d’eux. Ils ne pouvaient plus revenir au Ciel, et devaient vivre là où leur père les avait déposés. Kabbigat et Bugan étaient frère et sœur. Aussi était-ce un tabou pour eux, que de dormir sous le même toit. La nuit venue, Bugan dormit à l’intérieur de la maison, cependant que Kabbigat dormait en-dessous. Tous les jours, Kabbigat partait chasser. Pendant ce temps-là, Bugan s’occupait des cochons et préparait leurs repas.
Un matin, alors que Kabbigat était en train de nourrir les cochons, il vit un coq s’accoupler avec ses frères et sœurs. Il lui vint alors à l’esprit que si les poulets pouvaient se multiplier de cette façon, alors lui et sa sœur Bugan pouvaient en faire autant.
Aussi, la nuit venue, Kabbigat entra furtivement dans la maison et dormit avec Bugan. Il ne dit jamais un mot et Bugan en fit autant. Il faisait très sombre et Bugan ne pouvait pas voir son visage. Il en fut ainsi toutes les nuits. Bientôt, Bugan ne put plus étouffer sa curiosité, bien qu’elle se doutât que c’était son frère qui dormait avec elle. Une nuit, elle se mit du tilleul sur le nombril. L’homme revint et coucha avec elle. Ce matin-là, alors qu’ils étaient assis l’un en face de l’autre en prenant leur petit-déjeuner, Bugan vit la marque de « teltale ». Il y avait du tilleul sur le nombril de Kabbigat, et ses soupçons se confirmèrent. Elle dit alors « Viens, allons-y franchement. Vivons ensemble et faisons des enfants »
Alors, Kabbigan et Bugan vécurent ensemble. Mais, parce qu’ils étaient des dieux, ils allèrent d’abord à Lagud-est pour être avec les dieux. Là, ils engendrèrent trois enfants, tous des dieux. Ils s’appelaient Ampuwal (Source), qui créa tous les dieux du mal, Ngilin (Tabou), qui donna naissance aux dieux jaloux, et Ambumabbakal (Père) ; à la tête de tous les dieux matungulan, qui doivent toujours être apaisés, comme si les hommes avaient une dette envers eux.
Quelque temps après, Kabbigat et Bugan s’en retournèrent à Kay-ang. Wigan regarda en-bas et sourit. Il envoya Ambumabbakal (combattant) du Ciel pour dire à Kabbigan et à Bugan qu’ils ne devaient pas se sentir coupables de vivre ensemble, même s’ils s’accouplaient. Ambumabbakal leur enseigna également les rituels konong, au cours desquels ils offfraient des sacrifices et invoquaient tous les dieux de façon à ce qu’ils approuvent ce mariage de Kabbigat et de Bugan.
Ils eurent cinq enfants, tous mortels : Balituk, Bugan, Aliguyon, Magappid et Naohha. Balituk finit par épouser Bugan, Aliguyon se maria avec Magappid, mais la pauvre Naohha n’avait personne. Elle était tellement dégoûtée qu’elle se promit de prendre sa revanche sur les hommes. Elle alla à l’est (Lagud) et épousa Muntalug, un maknongan. De cette union, vinrent les dieux de la tromperie (Mana-haut).
Bientôt, Balituk et Bugan eurent beaucoup d’enfants. Il en fut de même d’Aliguyon et de Magappid. Leurs enfants se marièrent l’un à l’autre. Leurs enfants et petits-enfants s’entre-marièrent, et ainsi multiplièrent les membres de leur famille. Bientôt, la Terre fut surpeuplée. Wigan et le Ciel devaient faire quelque chose. Il dit « La Terre est surpeuplée ».
Alors, il envoya de fortes pluies qui inondèrent la Terre. Tout le monde, fut noyé, à l’exception de deux personnes, qui furent sauvées, parce qu’elles furent emportées au sommet du Mont Amuyao. Il s’agissait de Balituk, fils de Wigan, qui a le fils de Ma-ingit, du Ciel, et Bugan, la fille d’Amtalao, qui était le fils de Kabbigat de Kiyyangan (Kiangan). Dès que les eaux baissèrent, tous deux descendirent du sommet de la montagne.
Balituk et Bugan se rendirend à Kay-ang, où les premiers ancêtres des Ifugao, Kabbigat et Bugan, avaient été « parachutés » par leur père, Wigan. Ils se marièrent et donnèrent le jour à cinq enfants : deux garçons, Tadona et Patiwan, et trois filles, In-uke, Indungdung et Bihakon. Comme au début, les frères épousèrent les sœurs. Tad-ona se maria à In-uke. Tous deux devinrent les premiers parents des habitants de Kiyyangan (aujourd’hui Kiangan), la tribu des Tuwali. Patiwan se maria à Bihakon, et Indungdung convola en justes noces avec Antipolo.
Le temps passa. Un jour, Liddum, le grand Professeur du Ciel, descendit sur terre (on suppose que c’est Wigan qui l’envoya) et apprit à Balituk et Bugan ainsi qu’à leurs enfants comment cultiver le riz correctement et comment élever des cochons et des poulets pour la nourriture et pour les sacrifices aux dieux. Il leur enseigna aussi tous les rituels pour l’homme et pour la culture du riz. C’est au bon moment que ces rites et rituels ou baki furent établis, alors qu’ils se transmettaient de génération en génération.
Alors que le temps continuait à faire son œuvre et que la population s’accroissait et s’éparpillait, il y fut développé un système ou structure social basé sur la parenté. Des villages ou des établissements émergèrent, composés le plus souvent des membres d’un ou plusieurs clan(s) regroupé(s) pour une protection mutuelle".
latin vers français: Le Gouverneur de l'Etat de New-York et les administrateurs du Collège Vassar... General field: Droit / Brevets Detailed field: Certificats / diplômes / licences / CV
Texte source - latin PRAESES ET CURATORES COLLEGII VASSARINI
IN NOVI EBORACI FINIBUS
Omnibus has litteras perlecturis salutem notum sit
Nos facultates approbante titulo graduque qui appellari solet
ARTIUM BACCALAVREVS
BRANNON TATE WOODS
Una cum omnibus juribus honoribus insignibus ubique gentium ad eundem pertinentibus condecoravimus cuius rei hae membranulae cum sigillo academico et chirographis curatoribus praesedentis praesidisque testimonio sint
Quinto die ante kalendas Junias anno domini MMVI
(signature) (sceau du collège Vassar) (signature)
Curatoribus Praesidiens Praeses
Traduction - français LE GOUVERNEUR DE L’ÉTAT de NEW-YORK
ET LES ADMINISTRATEURS DU COLLÈGE VASSAR
Que la lecture intégrale de tous ces propos constitue un éloge public,
attestant, comme il est en notre pouvoir, de la délivrance du titre honorifique et du grade communément dénommés
LICENCIÉ EN SCIENCES
à
BRANNON TATE WOODS
qui portent le témoignage selon lequel, tous ensemble, nous lui avons décerné les droits aux honneurs et au port des insignes partout où il sera amené à se déplacer parmi la population, et en vertu duquel ce diplôme, revêtu du sceau académique et des signatures manuscrites du Président du Jury et du Gouverneur, est délivré.
Le 27 mai de l’année du Seigneur 2006
Le Président du Jury Le Gouverneur
anglais vers français: The Semantic Web Foundations Of Net-centric Warfare General field: Technique / Génie Detailed field: Ordinateurs : systèmes, réseaux
Texte source - anglais The Semantic Web Foundations of
Net-Centric Warfare
January 13, 2004
McDonald Bradley, Inc.
The Semantic Web Foundations of Net-Centric Warfare
Introduction....................................................2
The Semantic Web..........................................2
Power to the Edge .........................................4
Speed of Command.........................................9
Self-Synchronization......................................13
Conclusion ....................................................16
“Know the enemy and know yourself;
in a hundred battles you will never be in peril.”
– Sun Tzu, The Art of War
Force size is no longer proportional to destructive power. An individual or small group with a nuclear device can destroy a city. A single vial containing a biological agent can infect
millions of people. Or, specifically, in relation to conventional weapons, on 20 August 2003, a single cement truck, laden with explosives, detonated at the United Nations headquarters in Iraq and killed 17 and injured 100. This caused the U.N. and other relief agencies to pull out of Iraq.
Many other examples of this new threat could be cited, the most notorious being the events of September 11, 2001. Thus, the idea that size is no longer proportional to power is the essential asymmetry of modern warfare. Fortunately, this principle cuts both ways. So, to combat this we must also begin to think small, right down to the individual soldier or small unit empowered to autonomously understand, locate, and destroy such threats. Enabling such decentralized action with precision, synchronization, and agility is the goal of net-centric warfare. The cues for this new style of warfare come from the characteristics of the Internet and the World Wide Web (WWW) — decentralized, interoperable, and agile.
“The end for which a soldier is recruited, clothed, armed, and trained, the whole object of his sleeping, eating, drinking, and marching, is simply that he should fight at the right
place and at the right time.”
- Carl von Clausewitz, On War
The World Wide Web is transforming itself from a human-readable information-sharing
system into a machine-readable knowledge-sharing system. This next generation web, called the Semantic Web, provides the linchpin technologies behind Net-Centric Enterprise Services (NCES). Specifically, by revolutionizing how shared knowledge is represented in order to
expose its semantics, or meaning, Semantic Web technologies provide the foundation for data interoperability, reuse, and categorization. This white paper explains the key Semantic Web technologies, how they are being used today in Horizontal Fusion pilots, and where they are going tomorrow to support the goals of net-centric warfare.
The Semantic Web
Semantics eliminate the ambiguity of describing things with labels. The Semantic Web, as envisioned by Tim Berners-Lee, is a web of machine-processable data. This goal pushes data mobility and description beyond syntactic interoperability towards semantic interoperability.
Ontology and
Automated Reasoning
Taxonomies and XML Docs
with Mixed Vocabularies
XML Documents Using
Single Vocabularies
Proprietary Text Documents and
Database Records
Resource Description and
RSS Feeds
Figure 1. The Smart Data Continuum
Figure 1 shows five stages of the smart data continuum; more fine-grained stages, as well as more follow-on stages, however, will be developed later. The four stages in the diagram progress from data with minimal smarts to data embodied with enough semantic information to allow us to make inferences about it. These stages can be described as follows:
1. Text and Databases (pre-XML). The initial stage where most data is proprietary to an
application. Thus, the “smarts” are in the application and not in the data.
2. XML Documents for a Single Domain. At this stage, data achieves application
independence within a specific domain. It is now smart enough to move between applications within a single domain. An example of this would be the XML standards in the healthcare,
insurance, and real estate industries.
3. Resource Description and RSS. In this stage, data assets are looked at externally and described separately (or outside) the resource. This is similar to a card catalog in a library. Additionally, changes to the population of content can be announced via an RDF Site
Summary or RSS feed. The key innovative element in RDF is that it allows us to explicitly
model the associations between things. This cannot be overstressed. For 20 years we have
focused on modeling things; now we must focus on connecting the dots.
4. Taxonomies and Documents With Mixed Vocabularies. In this stage, data can be
composed from multiple domains and accurately classified in a hierarchical taxonomy. In fact, the classification can be used to discover data. Simple relationships between categories
in the taxonomy can be used to relate and thus combine data. Thus, data is now smart enough to be easily discovered and sensibly combined with other data.
5. Ontologies and Rules. In this stage, new data can be inferred from existing data by
following logical rules. In essence, data is now smart enough to be described with concrete
relationships, and sophisticated formalisms where logical calculations can be made on this
“semantic algebra.” This allows the combination and recombination of data at a more atomic level and very fine-grained analysis of data. Thus, in this stage, data no longer exists as a The Semantic Web Foundations of Net-Centric Warfare blob but as a part of a sophisticated microcosm. An example of this data sophistication is the automatic translation of a document in one domain to the equivalent (or as close as possible) document in another domain. The W3C Web Ontology Language (OWL) is a standard for defining ontologies.
While developers are very familiar with class modeling and the Unified Modeling Language
(UML), OWL extends and improves class modeling to provide property characteristics (like transitive, symmetric, etc.), set theoretics (union, intersection, etc.), and mapping constructs (like equivalence) for classes and individuals. Thus, in layman’s terms, OWL provides tools
for us to formally and specifically assert facts about populations of things and their relationships. The ability to share these formal models is sparking a revolution in data fidelity.
We can now compose a new definition of the semantic web: a machine-processable web of
smart data. Furthermore, we can define smart data as data that is application-independent,
composeable, classified, and part of a larger information ecosystem (ontology). The overall
trend is that the “smarts” reside in the data and not in the application endpoints. This is a core requirement for net-centric applications that communicate with a living, dynamic “net” instead of a specific endpoint.
Each of the semantic web technologies described above provide the technical underpinnings to support the goals of net-centric warfare. NCW goals can be correlated, as shown in Table 1, with technical architecture components and Semantic Web foundations.
Traduction - français Les fondements de la Toile lexicologique
pour la guerre sur internet
Table des matières
Introduction……………………………………………….….2
La Toile lexicologique…………………………………………………..3
Trancher dans le vif…….……………………………….…5
La vitesse de commandement......…………….…10
Auto-synchronisation…………………………………….13
Conclusion…………………...…………………………………16
Introduction
« Connais ton ennemi et connais-toi toi-même
En une centaine de batailles que tu livreras, tu ne seras jamais en péril »
Sun-Tzu, L’Art de la guerre
La force n’est plus proportionnelle à la puissance destructrice. Un individu ou un petit groupe doté d’un dispositif nucléaire peut détruire une ville. Une simple ampoule contenant un agent biologique peut infecter des millions de gens. Ou, plus spécifiquement, en rapport avec les armes traditionnelles, le 20 août 2003, un simple camion destiné à transporter du ciment, chargé d’explosifs, alerta le Quartier Général des Nations Unies en Irak, tua 17 personnes et en blessa 100. Cet évènement poussa l’ONU et tous les services de secours à évacuer l’Irak. On pourrait citer beaucoup d’autres exemples de cette nouvelle menace, le plus célèbre étant les évènements du 11 septembre 2001. Ainsi, l’idée que la grandeur n’est plus proportionnelle à la puissance, se révèle être l’asymétrie essentielle de la guerre moderne. Heureusement, ce principe est à double tranchant. Aussi, pour le combattre, nous devons aussi commencer à penser petit, descendre au simple soldat ou à la petite unité habilitée à comprendre de façon autonome, à localiser et à détruire de telles menaces. Donner pouvoir à une telle action décentralisée portée avec précision, synchronisation et vivacité, est le but d’une guerre centrée sur internet. Les répliques à ce nouveau style de guerre puisent leurs sources dans les caractéristiques de l’internet et de la Toile mondiale (WWW) : décentralisés, inter-opérationnels et agiles.
« La fin à laquelle un soldat est recruté, vêtu, armé et entraîné, l’objet global de son sommeil, de son manger, de sa boisson, et de sa marche est simplement son devoir de combattre au bon endroit et au bon moment » .
Carl von Clausewitz, De la Guerre
La Toile mondiale elle-même est en train de passer d’un système de partage d’information lisible à l’humain à celui d’un système de partage de connaissances lisible par la machine. La future génération de la Toile, appelée Toile lexicologique, apporte des technologies-pivots derrière les services d’entreprise relevant du réseau (NCES). Précisément, en révolutionnant la façon dont la connaissance est représentée pour exposer sa lexicologie, ou sa signification, les technologies de la toile lexicologique apportent à la fondation des bases de données fonctionnant en commun (en réseau), pouvant être réutilisées et catégorisées. La feuille blanche explique les technologies de la Toile lexicologique, comment elles sont utilisées de nos jours chez les pilotes de fusion horizontale, et comment elles vont soutenir demain les objectifs d’une guerre basée sur internet.
La Toile lexicologique
La lexicologie élimine le problème de la description des choses avec des marques commerciales. La Toile lexicologique, telle qu’envisagée par Tim Berners-Lee, est une base de données traitable par la machine. Cet objectif pousses les données à la mobilité et à une description, au-delà de l’interopérabilté de syntaxe, vers une interopérabilité de la terminologie. Les données traitables par la machine mènent à rendre les données plus sensées, plus intelligentes. L’image 1 illustre la progression des données dans un processus continuel d’intelligence croissante.
Image 1. La continuité des données intelligentes
L’image 1 montre 5 étapes de la continuité des données intelligentes. Des étapes élaborées, ainsi que des stades plus enchaînés, plus continus, seront développés ultérieurement. Les quatre étapes dans la progression du diagramme depuis les données avec un minimum d’intelligence et de vivacité aux données matérialisées grâce à suffisamment d’informations sémantiques pour nous permettre d’y apporter des conclusions. Ces étapes peuvent être décrites de la façon suivante :
1 Texte et bases de données (pro-XML). C’est l’étape initiale, où la plupart des données appartiennent à une application. Ainsi, les données intelligentes résident dans l’application, et non dans les données.
2. Les documents XML dans un domaine particulier. A ce niveau, la donnée parvient à l’indépendance à l’intérieur d’un domaine bien défini. Elle est maintenant assez habile pour circuler entre applications à l’intérieur d’un seul domaine. Un exemple de ce genre pourrait être les modèles de XML dans les industries de soin et de santé, de l’assurance et de la propriété immobilière.
3. La description des ressources et le RSS. A cette étape, les éléments actifs des données sont regardés de l’extérieur et décrits en-dehors de la ressource. Elle est comme un catalogue de cartes dans une bibliothèque. De plus, les changements apportés aux données du contenu peuvent être annoncés via un résumé de site RDF ou une alimentation RSS. L’élément-clé innovateur dans le RDF est la possibilité de présenter clairement les associations entre éléments. On ne le répètera jamais assez. Depuis 20 ans, nous nous concentrons sur les associations entre les éléments. Maintenant, nous devons nous appliquer à établir des connexions entre les points.
4. Les taxonomies et les documents dotés d’un vocabulaire riche, multiple. Parvenues à ce niveau, les données peuvent être composées à partir de domaines multiples et classés avec précision dans une taxonomie hiérarchique. En fait, on peut utiliser la classification pour prendre connaissance des données. Ainsi, la donnée est désormais suffisamment intelligente pour que l’on la découvre et pour que l’on l’associe de façon sensée avec d’autres données.
5. Ontologie et règles. A cette étape, les nouvelles données peuvent être achevées depuis des données existantes par les règles de logique suivantes. Par essence, la donnée est maintenant assez habile pour être décrite comme ayant des relations concrètes, et des formalismes élaborés où le calcul logique peut s’effectuer sur les bases de l’« algèbre sémantique ». Ceci permet la combinaison et la recombinaison de données à un niveau plus « atomique » et une analyse très affinée des données. Ainsi, à cette étape, la donnée n’existe-t-elle plus en tant que grosse goutte, mais comme partie d’un microcosme sophistiqué. Un exemple de cette sophistication de données est la traduction automatique d’un document dans un domaine en un document d’un autre domaine équivalent (ou aussi proche que possible). Le langage ontologique de la Toile (OWL) sert de modèle de définition des ontologies.
Alors que les « développeurs » sont très familiers de la modélisation de classe et de la langue modelante unifiée (UML), OWL étend et améliore le mode de classement pour attribuer des caractéristiques (de propriété), telles que transitif, symétrique, etc, et bâtit des constructions théoriques et organisatrices (en équivalence) pour les classes et les individus. Ainsi, en termes profanes, OWL nous apporte des outils afin de soutenir officiellement et précisément des faits relatifs aux populations d’objets et leurs relations entre eux. La capacité à partager ces modèles officiels est l’étincelle de la révolution dans la fidélité des données.
Nous pouvons maintenant élaborer une nouvelle définition de la Toile lexicologique : une Toile dont le traitement des données intelligentes est effectué par la machine. En outre, nous pouvons définir les données intelligentes comme des données indépendantes de l’application, composables, classées et partie d’un plus grand écosystème d’informations (ontologie). La tendance dominante est que les « intelligences » résident dans les données et non dans les points finaux d’application. Ceci est une exigence fondamentale pour des applications centrées sur internet qui communiquent avec un réseau vivant et dynamique au lieu de le faire avec un « point final » précis.
Chacune des technologies lexicologiques de la Toile décrites plus haut apporte ses étayages pour soutenir les objectifs de la guerre sur internet. Les objectifs de NCW peuvent être mis en relation, comme il est montré dans la table 1, avec des composantes d’architecture technique et avec les fondements de la Toile lexicologique.
anglais vers français: Factors affecting stability/variability of the Ifugao hudhud, par Maria Stanyukovich General field: Art / Littérature Detailed field: Folklore
Texte source - anglais An alarming result of largescale activities around hudhud is a very fast formation of “censored” new code of hudhud, which will soon become an unquestionable authority to be quoted by everybody.
General sketch of this view on hudhud is as follows:
1. There is only one kind of hudhud – hudhud of rice, which is sung on different occasions
2. It is a strictly nonritual tradition used exclusively for entertainment
3. Hudhud consists of 40 episodes and takes one or 2 nights to perform
4. There are regional variations that differ from each other in lexica only
A valuable contribution of Arsenio Manuel that has put hudhud in ritual context of Philippine epics as early as in 1963 [Manuel 1963], as well as other important Philippine works on ritual functions of oral epics (Landa Jocano, Alicia Magos etcl) seem to be totally neglected in hudhud studies nowadays. Surely we can talk about hudhud in general, as much as we can talk about Philippine or Austranesian languages in general. However, XXI th c. requires a more detailed study that is, of particular hudhud genres, regional, ritual and situational variations of hudhud. Otherwise we shall end up with a new Lennrot’s “Kalevala” or Longfellow’s “ Song of Hiawatha”, which is already on the way.
The most ancient genres of oral literature date back to the time when one ritual specialist performed the functions of epic singer, shaman and priest. The Ifugao hudhud oral tradition belongs to the core of Southern and Central Ifugao ritual .
The hudhud meets all the standards typical of heroic epic patterns, including the plot structure and formulaic style. In the same time it is a highly archaic combination of heroic epics and shamanistic narratives. The hudhud characters are regarded as ancestors and incorporated into the male pantheon as part of Hulupe class of benevolent deities.
For research purposes we are to distinguish between hudhud proper, that is, the heroic epic, a story about ancestors and their exploits, and hudhudshaped ritual narratives, that is, hudhud di kolot (hudhud of the haircut, a passage rite), hudhud di nate (hudhud of the dead, funeral wake and bogwa –second burial ceremony) and, possibly, wedding hudhud (that last one I myself never heard or recorded and therefore can not state positively that it really exists). These ritual narratives use hudhud form (melody, way of performing, lexics, including personal names and placenames, poetic structure and rhetorics) but actually treat not about heroancestors, but about certain members of Ifugao community, alive or dead, to whom personally the ritual is addressed. Not being epics, these additional genres are of vital importance internally and externally, that is, to the Ifugao traditional community and to ethnolinguistic/ ethnopoetic study of Ifugao hudhud. For traditional Ifugao community it was primarily these genres, marginal or additional for an epic student, that mattered. For example, it is a performance of the hudhud di nate that requires the most skillful hudhud singer. Such a singer is knowledgeable in all the forms of hudhud and highly respected. In the same time the munhawe (soloist), who can who only perform heroic epic (hudhud di‘anihudhud di page), is subordinate. Such a singer might acquire the sacred knowledge that will enable her to sing hudhud di nate only if the spirits would choose her. In that case she will be promoted to the highest level of proficiency. If not, she will remain “a professional of a lower qualification”. In other words, the heroic epic singing which is generally considered the treasure outside Ifugao is just a preliminary stage on the way to higher level of knowledge, needed for performing the genres that seem to be marginal, peripheral to an outsider. The truly knowledgeable person dominates the whole picture of which the heroic epic hudhud is the lest significant part.
Traduction - français Un résultat alarmant d’activités à grande échelle autour des hudhud est la formation très rapide d’un nouveau code « censuré » des hudhud, qui deviendra bientôt une autorité indiscutable et devra être cité par tout le monde.
Le schéma général de cette approche des hudhud se décrit comme suit :
1. Il n’y a qu’une sorte de hudhud, le hudhud du riz, chanté à différentes occasions.
2. C’est une tradition strictement non-rituelle, utilisée exclusivement à titre de divertissement.
3. Un hudhud comprend 40 épisodes, et sa représentation prend une ou deux nuits.
4. Il y a des variantes régionales, qui ne diffèrent entre elles que par le vocabulaire.
Une précieuse contribution d’Arsenio Manuel, qui inséra les hudhud dans un contexte rituel de récits épiques philippins dès 1963 [manuel 1963], au même titre que d’autres travaux philippins importants sur les fonctions rituelles des épopées orales (Landa Jocano, Alicia Magoseta) semble, de nos jours, être purement délaissée dans les études sur les hudhud.
Il est certain que nous pouvons parler des hudhud globalement, tout comme nous pouvons parler des langues philippines ou austronésiennes en général. Cependant, le 21è siècle exige une étude plus détaillée, autrement dit une étude générique, régionale, rituelle et des variantes situationnelles des hudhud. Autrement, nous aboutirons à un nouveau « Kalevala » de Lemmrot ou à une nouvelle « Chanson de Hiawatha » de Longfellow, et nous en prenons déjà le chemin.
Les plus anciennes formes de littérature orale remontent à l’époque où un seul spécialiste des rituels assumait les fonctions de chanteur épique, de chamane et de prêtre. La tradition orale ifugao des hudhud se situe au cœur du rituel ifugao méridional et central.
Tous les critères typiques des modèles d’épopée héroïque se retrouvent dans les hudhud, jusque dans la composition de la trame et dans le style formulaire. C’est en même temps une combinaison hautement archaïque d’épopées héroïques et de récits chamaniques. Les personnages des hudhud sont considérés comme des ancêtres et intégrés au panthéon masculin en tant que partie du groupe hulupe des divinités bienfaisantes.
Pour notre recherche, nous devons distinguer le hudhud proprement dit, c’est-à-dire l’épopée héroïque, une histoire relative aux ancêtres et à leurs exploits, des récits rituels extraits des hudhud, autrement dit du hudhud di kolot (hudhud de la coupe de cheveux, un rite initiatique), du hudhud di nate (hudhud du mort, veillée funéraire) et du bagwa, seconde cérémonie d’enterrement et éventuellement du hudhud de noces. De ce dernier, je n’ai moi-même jamais entendu parler et je n ai jamais rien enregistré. Par conséquent, je ne peux établir formellement qu’il existe. Ces récits rituels utilisent une formulation hudhud (une mélodie, une façon de jouer, un vocabulaire, y compris des noms de personnages et d’endroits, une structure poétique et rhétorique). En fait, ils font mention, non pas d’ancêtres-héros, mais de certains membres de la communauté ifugao, vivants ou décédés, à qui ce rituel est dédié personnellement.
N’étant pas des épopées, ces styles supplémentaires sont d’une importance vitale « en interne et en externe », autrement dit pour la communauté ifugao traditionnelle et pour l’étude ethnolinguistique/ethno-poétique des hudhud ifugao. Pour la communauté traditionnelle ifugao, c’étaient principalement ces styles légers ou supplémentaires qui importaient pour un étudiant des épopées Ainsi, la représentation de hudhud di nate requiert le chanteur le plus talentueux. Un tel chanteur est bien informé sur toutes les formes de hudhud et hautement respecté. En même temps, la soliste munhaw-e, qui ne peut jouer qu’une épopée héroïque (hudhud di ‘am/hudhud di page) lui est subordonnée. Une telle chanteuse serait autorisée à acquérir la connaissance sacrée qui la rendrait capable de chanter le hudhud di nate uniquement si les esprits la choisissaient. Dans ce cas, elle sera promue au plus haut degré de maîtrise. Sinon, elle restera une « professionnelle de qualification inférieure ». En d’autres termes, le chant de l’épopée héroïque, généralement considéré comme un trésor extérieur aux Ifugao, constitue juste un préliminaire sur la voie d’un niveau plus élevé de connaissances requis pour représenter des genres qui apparaissent légers, secondaires à un étranger. La personne véritablement informée domine l’intégralité de l’affiche et éclipse quelque peu l’épopée héroïque hudhud.
anglais vers français: Fondation d'un centre de consultations et de formation professionnelle au Yémen General field: Sciences sociales Detailed field: Immobilier
Texte source - anglais DP WORLD FUNDS CLINIC AND VOCATIONAL TRAINING CENTRE IN YEMEN
Project to Increase Medical CapacityUne étude prévoit l’accroissement de la capacité médicale
and Match Skills to Jobs et l’ajustement des compétences à l’emploi
DubaiDubaï, UAEEmirats arabes unis (EAU); Aden, YemenYémen,; April 29 avril, 2009:- DP World, the world’s fourth-largest marine terminal operatorle quatrième opérateur portuaire mondial par sa taille, a annoncé aujourd’hui son soutien à deux importantes initiatives communautaires basées à Aden, la Clinique Ras Morbat et le centre de formation. Les deux études sont déjà en train de créer une unite médicale d’urgence dans une ville insuffisamment pourvue en médecins, et empêchent un assortiment des talents aux emplois disponibles dans l’économie locale. Un soutien ultérieur vient du fournisseur des services des télécommunications de DP World, Dimension Data and Euroforbes, situé en zone libre des Emirats (FZE), fabricant de systèmes de filtrage et d’épuration de l’eau.
today announced support for two major Aden-based community initiatives, the Ras Morbat Clinic and Training Centre. The two projects are already creating critical medical capacity in a city without enough doctors, and helping match skills to available jobs on the local economy. Further support comes from DP World IT services supplier Dimension Data and Euroforbes, FZE, manufacturer of water filtration and purification systems
La contribution de DP World à la Clinique ’s contribution to the Ras MorbatRas Morbat Clinic, includes underwriting twoecomprend le soutien financier aux deux projets, two-year training programmesdes programmes d’entrainement de deux ans for staff doctorspour le corps des docteurs dans les secteurs de pédiatrie et d’ophtalmologie de l’Université d’Aden, ainsi qu’un stage complémentaire annuel de quatre semaines à Oasis Hospital, dans les EAU in the area of paediatrics and ophthalmology at the University of Aden, with supplementary four-week annual training at Oasis Hospital in UAE.. Additional Des fonds supplémentaires de DP World funding goes towards constructionsont affectés à la construction and operation of theet à l’opération du Ras Morbat Institute, qui training local residents in dispense aux résidents locaux des formations avancées advanced woodworken menuiserie et en charpenterie, parallèlement au développement de leurs talents d’entrepreneur. and carpentry, along with the skills to run their own businesses. While port activity contributes heavily Alors que c’est l’activité portuaire qui contribute majoritairement à l’économie d’Adento Aden’s economy, there remains significantune épreuve importante reste à surmonter, dans ce port de 600.000 habitants.economic hardship in this port city of 600,000 residents.
Mohammed Sharaf, CPDG deEO, DP World, saiddéclare:
““TL’association du personnel de he partnership between Ras Morbat staff, des employés de DP World employees and supplierset des fournisseurs, d’une part, celle and Yemeni and UAE medical institutionsdes institutions du Yémen et des EAU, d’autre part, brings togetherrassemblent a wide range of local and international resources une large palette de ressources locales et internationales. Elle apporte à la formation et aux mécanismes financiers la certitude que le programme se déroulera correctement au-delà du financement initial. Cette démarche d’association et l’attachement à prendre des initiatives utiles à la société constituent une partie de notre engagement envers les groupes concernésand incorporates training and financing mechanisms to make sure the programme will continue well beyond the initial funding. This partnership approach and focus on creating sustainable community initiatives is part of our commitment to the communities in which operate.”
Arif Bin Adhed, Managing DirectorDirecteur général de, DP World Aden, affirme said: “DP World congratulates félicite le Centre de consultations Ras Morbat Clinic and Vocational Training Centreet le Centre de Formation professionnelle pour leur grand dévouement sur une longue période à la communauté locale for its long and deep record of service to the local community. DP World Aden looks forwardenvisage to a long and fruitfulune collaboration longue et fructueuseation.”
La Centre de consultations Ras Morbat apporte des Clinic soins médicaux à des personnes dans le besoin à Aden depuis 1996. Plus de 8.000 personnes sonthas been providing medical care to needy people in Aden since 1996. More than 8,000 people are currently registeredactuellement immatriculées pour recevoir des soins médicaux gratuits à la Clinique, qui propose des services de soins de base, des soins prénataux, un programme de vaccinations et une vaste formation familiale. to receive free medical care at the clinic, which offers basic health services, prenatal care, a vaccination programme and an extensive family practice. Répondant aux besoins en soins des yeux, le Centre Ras Morbat a ouvert une Clinique à part pour les soins des yeux en 1998. Depuis, le Centre a supervisé plus de 60.000 consultations pour les yeux et effectué plus de 6.000 opérations.Responding to the need for eye care, Ras Morbat Centre opened a separate eye clinic in 1998. The clinic has since overseen more than 60,000 eye consultations and performed more than 6,000 operations.
Support for theLe soutien à la Clinique Ras Morbat Clinic et àand l’Institute is fait partie of du programme d’affaires responsable de DP World’s Responsible Business Programme. Il, facilitating projectsencourage des projets classés sommairement sous quatre rubriques globally under four themes: ‘‘dDéveloppement des associations portuaireseveloping Port Communities’ (job creationcréation d’emploi), Vocational Trainingstages professionnels, Transportation Safetysécurité des transports, and et ‘Moving Lives’mutations, which addresses basic human needsce qui répond à des besoins humains élémentaires, with a particular emphasisl’accent étant mis en particulier sur l’accès à l’eau propre et aux soins médicaux. on access to clean water and medical care. DP World seeks to gos’efforce d’aller “au-delà de la philantropie”, pour suggérer des “beyond philanthropy” to create initiatives that have the potential to be self-sustainingqui ont le pouvoir d’être auto-suffisantes, qui involve impliquent les employés de DP World employees, and et qui cement cimentent des partnerships partenariats with a range of local and international organisationsentre organisations locales et internationales. Globalement, DP World reis continually looking forcherche en permanence l’engagement de partenaires dans les effectifs de son groupe, pour des initiatives environnementales. committed partners to effect its community and environmental initiatives globally.
Media EnquiriesReportage:
Ethan Chorin
Traduction - français DP WORLD FONDE UN CENTRE DE CONSULTATIONS ET DE FORMATION PROFESSIONNELLE AU YÉMEN
Une étude prévoit l’accroissement de la capacité médicale
et l’ajustement des compétences à l’emploi
Dubaï, Emirats arabes units (EAU); Aden, Yémen, 29 avril 2009:- DP World, le quatrième opérateur portuaire mondial par sa taille, a annoncé aujourd’hui son soutien à deux importantes initiatives communautaires basées à Aden, la Clinique Ras Morbat et le centre de formation. Les deux études sont déjà en train de créer une unite médicale d’urgence dans une ville insuffisamment pourvue en médecins, et empêchent un assortiment des talents aux emplois disponibles dans l’économie locale. Un soutien ultérieur vient du fournisseur des services des télécommunications de DP World, Dimension Data and Euroforbes, situé en zone libre des Emirats (FZE), fabricant de systèmes de filtrage et d’épuration de l’eau.
La contribution de DP World à la Clinique Ras Morbat, ecomprend le soutien financier aux deux projets, des programmes d’entrainement de deux ans pour le corps des docteurs dans les secteurs de pédiatrie et d’ophtalmologie de l’Université d’Aden, ainsi qu’un stage complémentaire annuel de quatre semaines à Oasis Hospital, dans les EAU. Des fonds supplémentaires de DP World sont affectés à la construction et à l’opération du Ras Morbat Institute, qui dispense aux résidents locaux des formations avancées en menuiserie et en charpenterie, parallèlement au développement de leurs talents d’entrepreneur. Alors que c’est l’activité portuaire qui contribute majoritairement à l’économie d’Aden, une épreuve importante reste à surmonter, dans ce port de 600.000 habitants.
Mohammed Sharaf, PDG de DP World, déclare:
“L’association du personnel de Ras Morbat, des employés de DP World et des fournisseurs, d’une part, celle des institutions du Yémen et des EAU, d’autre part, rassemblent une large palette de ressources locales et internationales. Elle apporte à la formation et aux mécanismes financiers la certitude que le programme se déroulera correctement au-delà du financement initial. Cette démarche d’association et l’attachement à prendre des initiatives utiles à la société constituent une partie de notre engagement envers les groupes concernés. ”
Arif Bin Adhed, Directeur général de DP World Aden, affirme : “DP World félicite le Centre de consultations Ras Morbat et le Centre de Formation professionnelle pour leur grand dévouement sur une longue période à la communauté locale. DP World Aden envisage une collaboration longue et fructueuse”
La Centre de consultations Ras Morbat apporte des soins médicaux à des personnes dans le besoin à Aden depuis 1996. Plus de 8.000 personnes sont actuellement immatriculées pour recevoir des soins médicaux gratuits à la Clinique, qui propose des services de soins de base, des soins prénataux, un programme de vaccinations et une vaste formation familiale. Répondant aux besoins en soins des yeux, le Centre Ras Morbat a ouvert une Clinique à part pour les soins des yeux en 1998. Depuis, le Centre a supervisé plus de 60.000 consultations pour les yeux et effectué plus de 6.000 opérations..
Le soutien à la Clinique Ras Morbat et à l’Institut fait partie du programme d’affaires responsable de DP World. Il encourage des projets classés sommairement sous quatre rubriques : ‘développement des associations portuaires’ (création d’emploi), stages professionnels, sécurité des transports, et mutations, ce qui répond à des besoins humains élémentaires, l’accent étant mis en particulier sur l’accès à l’eau propre et aux soins médicaux. DP World s’efforce d’aller “au-delà de la philanthropie”, pour suggérer des initiatives qui ont le pouvoir d’être auto-suffisantes, qui impliquent les employés de DP World, et qui cimentent des partenariats entre organisations locales et internationales. Globalement, DP World recherche en permanence l’engagement de partenaires dans les effectifs de son groupe, pour des initiatives environnementales.
Reportage:
Ethan Chorin
allemand vers français: La durabilité – Fondements, objectifs et nouveaux défis General field: Sciences sociales Detailed field: Gouvernement / politique
Texte source - allemand Nachhaltigkeit – Erklärt, Erreichtes und Neue Herausforderungen
„Nachhaltigkeit“ - „Sustainability“ ist kein neuer Begriff. Die Diskussion über nachhaltiges Wirtschaften ist 300 Jahre alt und heute aktueller denn je. Woher der Begriff kommt, was er bedeutet und was die BWT bereits erreicht hat.
Wer hat’s erfunden?
Wir schreiben das Jahr 1713, als der Adlige Hans Carl von Carlowitz (1645-1714) in Freiberg (D) das erste forstwissenschaftliche Werk, die „Sylvicultura Oeconomica“ veröffentlicht. Hier wird zum ersten Mal der Begriff „nachhaltig“ erwähnt: „continuirlich beständige und nachhaltende Nutzung“ der Wälder zur Vermeidung einer „großen Noth“. Grund hierfür war die enorme Knappheit von Holz in ganz Europa durch den Raubbau während des Dreißigjährigen Krieges (1618-1648). In Umrissen werden bei Carlowitz schon die drei Säulen der Nachhaltigkeit erkennbar: Die Ökonomie hat dem Wohl des Gemeinwesens zu dienen, ist zum schonenden Umgang mit der Natur verpflichtet und hat Verantwortung gegenüber künftiger Generationen.
Carlowitz plädiert in seinem Buch für ein ganzes Bündel von Maßnahmen: eine „Effizienzrevolution“, durch Verbesserung der Wärmedämmung beim Hausbau, die Verwendung von energiesparenden Schmelzöfen und Küchenherden, die planmäßige Aufforstung durch Säen und Pflanzen und die Suche nach „Surrogata“ (Substitut, Ersatz) für das Holz.
Carlowitz Buch wurde zur Pflichtlektüre der deutschen Forstleute, welche sich weltweit einen Namen machten. Sie wirkten in Russland, Skandinavien, Frankreich, Indien, britischen Kolonien und den USA. „Sustained yield forestry“ (Nachhaltige Forstwirtschaft) wurde zu einem Schlüsselbegriff.
Den Beginn der wissenschaftlichen Auseinandersetzung mit „nachhaltiger Entwicklung“ markiert der vom „Club of Rome“ 1972 in Auftrag gegebene Bericht „Die Grenzen des Wachstums“. Die zentralen Schlußfolgerungen des Berichts waren: Wenn die gegenwärtige Zunahme der Weltbevölkerung, der Industrialisierung, der Umweltverschmutzung, der Nahrungsmittelproduktion und der Ausbeutung von natürlichen Rohstoffen unverändert anhält, werden die absoluten Wachstumsgrenzen auf der Erde im Laufe der nächsten hundert Jahre erreicht.
1983 gründeten die Vereinten Nationen die „Internationale Kommission für Umwelt und Entwicklung“ (WCED), welche vier Jahre später ihren Zukunftsbericht „Our Common Future“, auch bekannt als „Brundtland-Report“, veröffentlichte. Hier war auch erstmals eine Definition für „Nachhaltige Entwicklung“ ausgearbeitet: „Nachhaltige Entwicklung ist eine Entwicklung, die die Bedürfnisse der Gegenwart befriedigt, ohne zu riskieren, daß künftige Generationen ihre eigenen Bedürfnisse nicht befriedigen können." Diese Definition wurde zur Leitlinie, an der sich alle weiteren politischen Schritte und Ansätze messen lassen mussten und müssen.
1992 fand die Konferenz der Vereinten Nationen über Umwelt und Entwicklung in Rio de Janeiro statt. Sie gilt als Meilenstein für die Integration von Umwelt- und Entwicklungsbestrebungen. Wichtige Ergebnisse dieser Konferenz sind die Agenda 21 (weltweites Aktionsprogramm, das von 178 Staaten unterzeichnet wurde), die Rio-Erklärung über Umwelt und Entwicklung, die Klimarahmenkonvention, die Wüstenkonvention und die Biodiversitäts-Konvention.
Im Millennium-Projekt der UN-University heißt es, die Nachhaltigkeit sei die Chance Nummer 1 für das 21. Jahrhundert. Angestrebt seien Lösungen, die ökologisches Gleichgewicht, ökonomische Sicherheit und soziale Gerechtigkeit zusammenführen und auf lange Sicht und weltweit stabilisieren können – die drei Säulen der Nachhaltigkeit.
Es wurden in der Vergangenheit verschiedene Ziele und Indikatoren für eine nachhaltige Entwicklung definiert, woraus sich Anforderungen für die Wirtschaft ergeben. Viele Unternehmen haben darauf reagiert, übernehmen als „Corporate Citizen“ („Unternehmensbürger“) Verantwortung und legen Berichte und Strategien vor, um ihr Handeln nachhaltig zu gestalten,; nicht zuletzt weil auch ihre Kunden, Investoren und Partner zunehmend gewisse Nachhaltigkeits-Mindeststandards einfordern..
BWT - Nachhaltigkeit
„Nachhaltigkeit“ ist Bestandteil unserer Unternehmenskultur und der unserer Markenwerte und wurde der BWT mit ihrer Gründung in die Wiege gelegt. „Wasseraufbereitung mit Verantwortung – von der Quelle bis zum Sickerwasser“ war schon 1990 Leitspruch der BWT und kommt mit den umweltfreundlichen Technologien und Produkten klar zum Ausdruck. Heute orientieren sich immer mehr Kunden, Aktionäre und Partner bei ihren Entscheidungen nicht mehr nur an finanziellen Kriterien, sondern auch daran, wie diese Produkte entwickelt, produziert und vertrieben werden in ihrer sozialen und umweltrelevanten Dimension. In einem ersten Schritt geht es also darum, unser Handeln und unsere Fortschritte messbar zu machen. Vor zwei Jahren wurde daher neben der finanziellen Berichterstattung (Buchhaltung/Controlling) ein internes Berichtswesen nach dem international anerkannten GRI-Standard (Global Reporting Initiative) in der BWT-Gruppe geschaffen. Dieses Reporting wird jährlich durchgeführt und dient dem Management als standardisierte Informationsgrundlage in den Bereichen „Kunde“, „Mitarbeiter“, „Marktpartner“, „Umwelt“, „Gesellschaft“ und „Investoren/Banken“ und enthält Angaben z.B. über Ressourcenverbrauch, CO2-Emissionen, Abfallmengen und Materialeinsätze, Mitarbeiterzufriedenheit, Trainings, Ausbildungen und vieles mehr.
Als Infokasten:
Haben Sie gewusst, dass wir in der BWT-Gruppe im Jahr 2009…
• 3,8 Tonnen CO2 pro Kopf emittiert haben (im Durchschnitt emittiert ein Europäer (EU-27) 9 Tonnen CO2-Äquivalente pro Jahr)
• 4.264 kWh Strom pro Kopf verbraucht haben (ein durchschnittlicher Haushalt verbraucht 3.500 kWh im Jahr)
• 1 Tonne Abfall pro Kopf produziert haben,
• 96,7 m³ Wasser pro Kopf verbraucht haben,
• 16 Stunden Schulungen pro Kopf durchgeführt haben,
• 29,4% Frauenanteil haben,
• 58 Arbeitsunfälle hatten,
• 12 nach Qualitätsmanagement (ISO 9000) und 4 nach Umweltmanagement (ISO 14000) zertifizierte Unternehmen in der Gruppe haben,
• der Standort Mondsee im Winter mit Biomasse-Nahwärme geheizt wird,
• BWT Schriesheim ihre abfallenden Metallspäne gewinnbringend verkauft.
Kultureller Fortschritt & tägliche Umsetzung
Nachhaltigkeit ist eine Frage der Kultur – schließlich geht es um richtiges Verhalten. Ziel der BWT-Initiative ist es, Nachhaltigkeit als Kultur und Bestandteil des Leitbilds im Handeln als Unternehmen bei allen Mitarbeitern tagtäglich zu verankern und realistische Ziele zu formulieren und zu erreichen. Gewohnheiten sollten in Frage gestellt werden und vieles mit „nachhaltigen Augen“ neu betrachtet werden. Als Instrumente können dazu Hausordnungen, Investitionsanträge, Willkommensmappen, Budgetmeetings und viele andere Detailmaßnahmen unseres täglichen Geschäftslebens als Unternehmen bilden.
In der Umweltdimension heißt nachhaltiges Handeln Energie zu sparen (Heizenergie, Strom; Ladegeräte ausstecken etc.), Abfälle zu vermeiden (Produktion; konsequente Abfalltrennung), mit den vorhandenen Ressourcen (Rohstoffen und Gütern, Betriebseigentum…) sorgsam und sparsam zu wirtschaften und vieles mehr – was sich auch finanziell bezahlt macht. Zufriedene Mitarbeiter („Happiness at work“ gemäß unserem Leitbild), deren Loyalität, gesetzmäßiges und ethisches Verhalten, deren Ausbildung und Einsatz sind die Grundlage unseres Unternehmenserfolges. Nachhaltiges Handeln verringert auch Risiken, denn Abhängigkeit von Rohstoffen (z.B. Öl), Produktschwächen, Umweltschäden oder zu hohe Fremdfinanzierung (z.B. durch zu hohe Unternehmensverschuldung) können für Unternehmen teuer werden. In der gesellschaftlichen Dimension wird die Beziehung des Unternehmens zur Gesellschaft betrachtet, das umfasst finanzielle Leistungen (Steuern, Abgaben, Sozialversicherungsbeiträge, etc.) aber auch Leistungen die das Unternehmen empfängt (Subventionen, Förderungen) und andere freiwillige Leistungen, die das Unternehmen in seinem Umfeld erbringt (Spenden an Vereine, Wohltätigkeit, Sponsoring, Schenkungen, lokale Verankerung, etc.).
Für den Einsatz für Nachhaltigkeit erhielt die BWT am 27. Mai den Wiener Börse Preis für Nachhaltigkeit - mehr dazu auf Seite 22. Mehr zum Thema Nachhaltigkeit lesen Sie außerdem in der nächsten Ausgabe.
Jasmin Harrer, Ralf Burchert
Traduction - français La durabilité – Fondements, objectifs et nouveaux défis
La « durabilité », (sustainability en anglais) n’est pas un concept nouveau. Le débat sur le développement durable a 300 ans, et il est d’actualité, aujourd’hui plus que jamais. D’où vient le concept, que signifie-t-il, et quels objectifs Best Water Technology (BWT) a-t-elle atteint ?
Qui a inventé ça ?
Nous sommes en l’an 1713, alors que le noble Hans Carl von Carlowitz (1645-1714) publie la première œuvre de science sylvicole «Sylvicultura Oeconomica ». C’est ici qu’est mentionnée pour la première fois la notion de durabilité. Une utilisation continuellement régulière et durable des forêts pour anticiper un « grand besoin » en bois dans toute l’Europe au vu de son exploitation abusive au cours de la Guerre de Trente Ans (1618-1648). Chez Carlowitz, les trois piliers de la durabilité sont reconnaissables. L’économie doit servir le bien de la communauté, elle s’engage à une utilisation propre de la nature et elle est responsable vis-à-vis des générations futures.
Carlowitz plaide dans son livre pour tout un ensemble de mesures : une « révolution de l’efficacité », à travers l’isolation thermique lors de la construction des maisons, le reboisement planifié au moyen de graines et de plantes, et la recherche sur les « surrogata », substituts ou ersatz au bois.
Le livre de Carlowitz est devenu la référence des personnels forestiers, lesquels se sont fait un nom dans le monde entier. Ils ont exercé en Russie, en Scandinavie, en France, aux Indes, dans les colonies britanniques et aux Etats-Unis. « L’économie forestière durable » est devenue un domaine de référence.
C’est le Club de Rome qui marque, en 1972, le début de l’argumentation scientifique autour du « développement durable » dans son rapport intitulé « Les frontières de la croissance ». Les conclusions finales du rapport étaient : si l’augmentation actuelle de la population mondiale, de l’industrialisation, de la pollution de l’environnement, de la production de denrées alimentaires et de l’exploitation des matières premières naturelles demeure inchangée, les frontières absolues de la croissance sur Terre sont en voie d’être atteintes au cours des cent prochaines années.
En 1983, les Nations Unies fondent la « Commission internationale pour l’environnement et le développement » (CIEP), laquelle publie quatre ans plus tard son futur rapport : « Notre avenir à tous », intitulé également « Rapport Brundtland ». On y trouve aussi élaborée pour la première fois une définition du « développement durable » : « le développement durable est un développement qui satisfait les besoins actuels, sans risquer de compromettre pour les générations à venir leurs propres besoins ». Cette définition est devenue la ligne directrice, à l’égard de laquelle toutes les démarches et étapes politiques ultérieures devaient et se doivent de prendre des mesures d’application.
En 1992, se tient à Rio la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement. Elle a posé les jalons de l’intégration de l’environnement à l’aide au développement. L’ensemble des résultats importants de cette conférence est l’agenda 21 (programme d’action à l’échelle mondiale signé par 178 Etats). Il comprend l’explication de Rio sur l’environnement et sur le développement, une convention-cadre relative au climat, la Convention sur les déserts et la Convention sur la biodiversité.
Dans le Projet du Millénaire de l’Université des Nations Unies ainsi dénommé, la durabilité est la chance n°1 du 21è siècle. Seraient visées les solutions qui concilient l’équilibre écologique, la sécurité économique et la justice sociale, les trois piliers de la durabilité, et, plus généralement, celles qui peuvent mener à une stabilisation mondiale.
Par le passé, des buts et des indicateurs divers pour une évolution durable ont été définis. Il en est ressorti des exigences pour l’économie. Beaucoup d’entreprises ont réagi sur ce point, se chargeant de prendre leurs responsabilités de « citoyen d’entreprise », en présentant des rapports et des stratégies, afin d’organiser durablement leur action, et ce n’est pas la dernière fois, car ce sont également leurs clients, investisseurs et partenaires qui en appellent de plus en plus à une sûreté des normes minima de la durabilité.
La durabilité chez BWT
La durabilité est un élément de notre culture d’entreprise et celui de nos valeurs marchandes, et elle a été mise dans le terreau de BWT avec ses fondations. « Le traitement responsable de l’eau, depuis la source jusqu’à l’eau potable », faisait déjà partie du discours directeur de BWT en 1990 et a clairement fait son entrée dans les technologies et les produits protecteurs de l’environnement. Aujourd’hui, les clients, les actionnaires et les partenaires s’orientent de plus en plus, par leur coopération, non plus seulement vers des critères financiers, mais s’impliquent aussi dans l’évolution, la production et la mise en application de ce produit dans une dimension sociale et environnementale importante.
Dans un premier temps, il s’agit alors de rendre nos actions et nos progrès quantifiables. Il en a résulté la création, voilà 2 ans, d’une commission interne des Affaires internationales du GR Standard (Global Reporting Initiative) rattachée à la sous-direction des Finances, au sein du groupe BWT. Ce rapport est rédigé tous les ans et sert au management en tant que base d’information officielle dans les secteurs « clients », « collaborateurs », partenaires économiques », « environnement », « société » et « Investisseurs-banques », et contient des indicateurs. Ex. : utilisations des ressources, émissions de CO2 (des tas de déchets et des « actions naturelles »), satisfaction des collègues, stages, formations et bien plus encore
Pour information :
Saviez-vous, que dans le groupe BWT, en 2009, nous avons :
● émis 3,8 tonnes de CO2 par tête. En moyenne, un Européen de l’Union européenne à 27 émet 9 tonnes équivalent CO2 par an,
● 4.264 kwh de courant par tête. Un ménage moyen consomme 3.500 kwh dans l’année,
● produit 1 tonne de moins par tête,
● consommé 96,7 m3 par tête,
● réalisé 16 heures de formation /tête,
● 29,4% de participation féminine,
● enregistré 58 accidents du travail,
● certifié 12 entreprises du groupe en gestion de la qualité (ISO 9000) et 4 en gestion de l’environnement (ISO 14000),
● obtenu que la station Mondsee soit réchauffée en hiver avec la chaleur de proximité de la biomasse,
● vendu lucrativement à BWT Schriescheim ses pans métalliques descendants.
Progrès culturel et environnement quotidien
La durabilité est une question culturelle. Il en va finalement d’un comportement adéquat. Tel est le but de BWT-Initiative : ancrer la durabilité comme culture et partie d’un modèle d’action d’entreprise, auprès de tous les collaborateurs, au fil des jours, et formuler des objectifs réalistes et atteignables. Les habitudes ont dû être formulées dans la question et beaucoup de choses ont dû être envisagées avec un « regard durable ». En tant qu’instruments, les règlements intérieurs, les propositions d’investissement, les porte-documents de bienvenue, les réunions budgétaires et beaucoup d’autres mesures peuvent traiter, à cette fin, des détails de notre vie quotidienne, telle que les entreprises la conçoivent.
Dans le contexte de l’environnement, agir durablement signifie économiser de l’énergie (chauffage, courant électrique, retrait des chargeurs, etc), éviter les déchets (production, tri sélectif) avec les ressources disponibles (biens et matières premières, propriété d’entreprise,…) dans un souci constant de réaliser des économies, et bien au-delà de ce qui, sur un plan financier, en vaut la peine. Des collègues de travail satisfaits (« Le bonheur au travail », conformément à notre ligne de conduite), ont un comportement, loyal, régulier et éthique. Leur formation et leur engagement constituent les fondements de notre succès entrepreneurial. L’action inscrite dans la durabilité réduit aussi les risques, car la dépendance vis-à-vis des matières premières (ex. : le pétrole), les faiblesses d’un produit, les dégâts à l’environnement, ou les financements trop élevés (par ex., par de gros endettements) peuvent coûter cher aux entreprises. Dans la dimension sociétale, la relation de l’entreprise à la société est considérée comme encerclée de performances financières (impôts, taxes, CSG, etc), mais aussi de prestations que l’entreprise perçoit (subventions, aides) et d’autres contributions volontaires que l’entreprise, dans son domaine, apporte : dons à une association de bienfaisance, parrainage, ancrages locaux, etc..
Pour l’engagement dans la durabilité, la BWT a reçu le 27 mai, le Prix de la Bourse de Vienne. Des développements sur cet évènement se trouvent page 22. Pour en savoir plus là-dessus, nous vous donnons rendez-vous dans notre prochain numéro !
Jasmin Harrer, Ralf Burchert
latin vers français: Antoine Faber Coniecturarum iuris civilis..., 1702/Antoine Favre – Des interprétations du droit civil General field: Droit / Brevets Detailed field: Histoire
Texte source - latin Antoine Faber Coniecturarum iuris civilis..., 1702
p. 92 Posset aliquis dubitationi locus relinqui apud eos qui verborum maiorem quam sententiae & voluntatis rationem haberet, si conditio. Sic concepta proponetur, si primum marem ediderit, quia non sicut unus partus, ita possit una dici editio pluribus editis. ...
P. 93Triboniani... detegit, quod sequitur, sin autem hoc incertum est, nec potest, nec per subtilitatem iudicalem manifestari... in ambiguis rebus humaniorem sententiam sequi oportet, ut tam ipsa libertatem, quam filia eius ingenuitatem consequatur, quasi per praseumptionem priore masculo edito..... Alioqui dicendum esset, ita locuto testatore, si mihi filius nascetur, exheres esto; natis uno parto pluribus filii pro exheredato habendum esse eum qui primus natus esset, quasi qui promi partu solus esset natus, cum ordini nscendi aliù prius, alium postea nasci fuerit necesse.
Et tamen falsum id esse constat, neminemque in proposita specie intelligi exheredatum, ne aliqui fatendum esset omnes simul exheredatos contro quam ferre possint verba testatoris, lex I § quare...
Planè si poneres nasci filium & filiam, defendi probabiliter posset, non eo minus valere filii exheredatione, quia non facit natiutas filiae, quin verum sit (ou fit?) filium natum esse, atque ita impletam fuisse conditioné exhérédationis, sive prior editus sit masculus, sive posterior: nec quod hunc casum superiori comparat Ulpianus in Lex... ad rem facit.
Recta enim comparatio in eo est, quod utroque casu venter in possessionem mitti debet, ratione illa generali quae sequitur, quod fatius ( satius) fit (ou sit?) sub incerto eius qui aletur, ali etiam eum qui sit exheredatus, quam eum qui non sit exheredatus, fame necari: at non etiam in eo, ut perinde utroque casu exheredationis conditio defecisse videatur: et si contrariam quoque sententiam facile odium exheredationis posset fortassio admittere.
In proposito autem casu favor libertatis e contrario urget pro masculo, ut qui primo partu editus est, licet post sororem, & faciat matrem liberam, & sororem ingenuam, quemadmodum & seipsum.
Perpetuus ergo Triboniani error ille fuit, quod non eredidit, aut potius non animadvertit incipiente partu impleri conditionem tam propter eum qui ultimus editur, quam propter eum qui primus: & unum eumdemque partus esse, quoties uno utero plures nascuntur, quia simul & semel eos omnes conceptos esse necesse est.
Traduction - français Antoine Favre – Des interprétations du droit civil
P. 92 D'aucuns pourrait avoir quelque raison de laisser subsister le doute chez ceux qui vanteraient avec raison les grands mots qu'animent le jugement et la volonté, le cas échéant. C'est ainsi que ceux qui ont été enfantés sont envisagés. Si le premier n'a pas a été mis au monde par la mère d'un seul bloc, alors ce qui est dit être un seul enfantement pourrait se transformer en plusieurs…
P.93 Tribonien… l'expose. Car si, au contraire, ce qui est incertain est indéterminé, il ne peut être découvert grâce au discernement des juges. Dans les affaires douteuses, il faut suivre la pensée humaine. De cette façon, arrivé au point où la jeune fille a finalement obtenu sa condition de femme libre, la liberté-même, comme pour donner naissance au premier des deux enfants mâles. Du reste, et ainsi s'exprime le testateur, si l'enfant est né de moi, je suis déshérité. Ayant plusieurs enfants fruits d’un enfantement unique, il conviendrait de déshériter celui né le premier, comme si celui qui était né le premier avait été le seul à naître. l’autre des deux premiers arrivant dans un ordre ascendant, il eût été nécessaire que l’autre naisse après.
Cependant, et cela est certainement faux, il est établi, dans une proposition comprise, à première vue, dans le but de déshériter, qu'il puisse être destiné à porter en même temps les déshérités contre les mots du testateur, d'où la loi n°1…Il est clair que si tu donnais naissance à un fils et à une fille, il serait possible de défendre avec succès, que je ne vise par moins à l’exhérédation du fils, parce qu’il n’est pas né de la fille..En vérité, personne n’est vraiment fils naturel. Dès lors, la condition pour l'exhérédation serait remplie si le mâle le plus âgé était le seul. Il n'y a personne dans ce cas, qui présente un cas de supériorité. Ulpien, dans la loi...traite de l’affaire
En fait, il a en cela une analogie directe au cas dans lequel le ventre doit prendre possession....se pose la question de savoir ce qu'il vaut mieux que devienne, dans l'incertitude, celui qui a été lésé. Celui qui a été déshérité est nourri par celui qui ne l’a pas été. En revanche, nous n'y sommes pas encore, il n'a pas encore été vu une condition d'exhérédation qui se dégage uniformément des deux côtés. Cela vaut pour autant, que l’on admette par ailleurs que l’on puisse entretenir facilement un sentiment de haine à l’égard de l’exhérédation.
Or, dans le cas qui nous concerne, l'intérêt de la liberté, il est au contraire urgent pour le mâle né le premier, qu’il soit permis de l’être après sa soeur, pour qu’il en fasse une mère libre et, de la même manière, une soeur de bonne famille.
Cette erreur-là est perpétuelle pour Tribonien. En effet, il ne l'a pas dissipée, ou plutôt, il ne l'a pas reconnue au début, en partie principalement à cause de son état de saturation, au point qu'il en a finalement rendu l'âme : être une même partie à chaque fois d'un seul ventre, dont il résulte plusieurs parties, desquelles il était nécessaire d’être conçus tous en même temps.
tagalog vers français: 10 minutong pantawag para sa iyo ! General field: Sciences Detailed field: Télécommunications
Texte source - tagalog Sa araw na ito, ipakita mo na ang pagmamahal mo ay pang-matagahal.
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Bonjour,
La traduction est un véritable plaisir pour moi.
Traducteur professionnel depuis onze ans, j’évolue dans le monde du
multilinguisme depuis plusieurs décennies, notamment en français, anglais et
allemand.
Je possède des références en anglais, en allemand,
en latin et en tagalog auprès de quatorze particuliers et cabinets de
traduction de divers pays. J'ai également effectué des relectures de
traductions et des sous-titrages.
J’effectue des traductions pour produire du travail d’excellente
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dans l’urgence. Un texte correctement traduit nécessite du recul. Cela, le
client doit le comprendre. Sivous privilégiez la qualité de la
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J’ai organisé le 1er powwow Proz de
traducteurs en Auvergne (Clermont-Ferrand, novembre 2010), un autre à
Montigny-le-Bretonneux (78) en novembre 2011, participé à la 1ère conférence
internationale Proz de Paris (décembre 2010), et pris part à plusieurs
conférences Proz en ligne, étendues désormais à celles des juristes-linguistes.
J'ai organisé le premier powwow en ligne sur
Proz (23 avril 2020).
Traductrice assermentée, membre de la Société
française de Traduction (SFT) et de l'Association des Traducteurs littéraires
de France (ATLF), Marie-Yvonne DULAC a traduit de nombreux
ouvrages de référence liés au sport, au tourisme et à l'histoire. Elle traduit
depuis plus de 20 ans avec une grande conscience professionnelle. J'ai
collaboré avec Marie-Yvonne pour des traductions, et je vous recommande
particulièrement ses services pour des traductions de l'anglais ou de l'italien
vers le français.
Je vous remercie d’avoir pris le temps de me lire.
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