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Échantillons de traduction proposés: 3
anglais vers français: DR-TB A new disease requiring new public health approaches General field: Médecine
Texte source - anglais DR-TB : A new disease requiring new public health approaches
Drug resistant tuberculosis (DR-TB) is on the rise in Southern Africa, fueled on the one hand by high HIV prevalence, and on the other by its highly contagious nature. The disease reaches deep into rural Zimbabwe where MSF runs a DR-TB project. Steps need to be taken urgently to curb transmission before it has spread too widely to be contained.
Before tuberculosis treatments were invented, rich Europeans suffering from “consumption” (as the disease was then known) sought refuge in luxury sanatoria in Switzerland where the brisk Alpine air was considered their best chance for a cure. Those locations were not so dissimilar from Lorraine Zemba’s Takawira village in rural Zimbabwe – well, except for the “luxurious” part of it, as her round thatched hut can scarcely compare to a high-end Swiss chalet. But in the early days of winter, where a chilly breeze runs through the immensity of gentle hills – not a house in sight, just a few trees breaking up the yellowing savannah – her modest house feels very, very far away from the places usually associated with the TB epidemic: Prisons. Overcrowded slums. Narrow winding streets trapping the bacteria that, without a cleansing gush of wind, can stay in suspension in the air for hours. But it took us close to an hour’s driving from the main road through the bumps and holes of a dirt trail to reach Lorraine’s home, so remote that the range of rocky hills rising behind it feels like the end of the world. So, how did she get infected by DR-TB, the drug resistant strain of the bacteria?
Traduction - français La TB-R: une nouvelle épidémie qui exige de nouvelles approches en matière de santé publique
La tuberculose résistante (TB-R) est une maladie en hausse en Afrique australe, alimentée à la fois par une forte prévalence de VIH et par sa nature hautement contagieuse. L’épidémie fait des percées dans bon nombre de zones rurales du Zimbabwe où MSF mène un projet sur la TB-R. Des mesures doivent être prises d’urgence afin d’enrayer la transmission de l’épidémie avant qu’elle ne se propage de façon incontrôlable.
Avant la mise au point de traitements contre la tuberculose, les Européens nantis qui souffraient de « consommation » (ancien nom donné à la maladie) cherchaient refuge dans des sanatoriums de luxe en Suisse. L’air frais des Alpes était considéré comme le meilleur remède. Ces endroits n’étaient pas si différents de Takawira, un village situé dans une zone rurale du Zimbabwe où habitait Lorraine Zemba – enfin, mis à part l’aspect « luxueux », puisque sa hutte de paille ronde ne peut guère être comparée à un chalet suisse haut de gamme. Mais au début de l’hiver, lorsqu’un vent froid traverse l’immensité des collines - pas une maison à vue, juste quelques arbres qui viennent briser la morne savane jaunissante – sa modeste maison parait bien différente des endroits habituellement propices à la propagation de l’épidémie de la tuberculose : prisons, bidonvilles surpeuplés, rues étroites et sinueuses où les bactéries piégées restent dans l’air pendant des heures sans l’effet purificateur du vent. Toutefois, nous avons mis près d’une heure en voiture pour arriver à la maison de Lorraine, empruntant d’abord une route principale, puis des sentiers en terre battue semés de bosses et de trous. Sa demeure est si éloignée, cachée derrière des collines rocheuses, qu’on dirait être au bout du monde. Alors, comment Lorraine avait-elle été infectée par la TB-R, la souche pharmacorésistante de la bactérie?
anglais vers français: We Are All Displaced Now Detailed field: Org / dév. / coop internationale
Texte source - anglais “We Are All Displaced Now” - South Sudanese Health Workers Tell of Treating Patients in the Bush
By Nicole Johnston, Communications Coordinator, Médecins sans Frontières/Doctors Without Borders (MSF).
Originally published on the Huffington Post.
As the international community holds its breath, hoping that the latest peace deal signed between warring parties in South Sudan holds, civilians caught up in the conflict are praying for an end to the killings, for the chance to return home and to plant their crops.
Almost three months ago, the Médecins sans Frontières/Doctors Without Borders (MSF) hospital in the town of Leer, Unity State, South Sudan was destroyed, one of the many brutal assaults on entire communities in the country since December 2013.
More recent attacks on civilians and the health facilities that they have relied upon for years have been inflicted upon Malakal and Bentiu: both sides have attacked civilians, looted hospitals, killed patients, raped women and generally failed to regard the basic rules that apply in a time of war.
Beyond the scenes of scattered corpses on the dirt roads of town or village squares, beyond the smouldering remains of homes, churches, stores, and health clinics, exist the survivors - hiding in swamps, surviving on plant roots and filthy water, and trying to stay alive.
Traduction - français « Nous sommes tous déplacés maintenant » - des agents de santé au Soudan du Sud racontent comment ils soignent des patients dans la brousse
Par Nicole Johnston, chargée de communication de Médecins Sans Frontières.
Article publié initialement dans le Huffington Post.
Alors que la communauté internationale retient son souffle dans l’espoir que l’on respecte le dernier accord de paix signé entre les parties belligérantes au Soudan du Sud, les victimes civiles du conflit prient pour que l’on mette fin aux tueries et qu’elles puissent retourner chez elles et ensemencer leurs terres.
Il y a près de trois mois, un hôpital de Médecins Sans Frontières (MSF) a été détruit dans la ville de Leer, située dans l'État d'Unité au Soudan du Sud. Ce fut une des nombreuses attaques brutales lancées contre des communautés entières dans le pays depuis décembre 2013.
Malakal et Bentiu ont dernièrement subi d’autres attaques menées contre des civils et des centres de santé qui leur fournissent des soins vitaux depuis des années. Les deux camps sont à l’origine d'attaques contre des civils, ont pillé des hôpitaux, tué des patients et violé des femmes. De façon générale, les règles de base qui s’appliquent en temps de guerre n’ont pas été respectées.
Au-delà des cadavres épars sur les routes de terre battue ou sur la place publique des villes et des villages, au-delà des vestiges fumants de maisons, d’églises, de magasins et de cliniques, il y a les survivants qui se cachent dans les marécages. Ils survivent en mangeant des racines et en buvant de l’eau souillée. Ils essaient simplement de rester en vie.
anglais vers français: Avoiding a dangerously simplistic approach to humanitarian aid Detailed field: Org / dév. / coop internationale
Texte source - anglais Avoiding a dangerously simplistic approach to humanitarian aid
Is prevention the best cure for what ails us? As any parent might attest, it makes common sense to mitigate risk whenever possible — wash your hands before you eat now, they might tell their children, and avoid getting sick later.
This is sound advice, and not just for matters personal health. When it comes to emergency relief assistance, for example, the notion of taking steps now to prevent large-scale crises in the future is an understandably popular concept, one that has increasing influence over global disaster response planning. Why rush from crisis to crisis around the world, the thinking goes, when we can invest efforts now to prevent them from happening in the first place?
That question lies at the heart of a growing trend in humanitarian assistance planning. UN-led humanitarian interventions are pushed to focus on building capacity for the future as much as responding to needs in the present, and risk management is expected to be a major theme of the upcoming (and first-ever) World Humanitarian Summit in Istanbul in 2016. The argument that underlies this so-called new approach has been expressed most authoritatively in Saving Lives Today and Tomorrow, a recent report by the UN Office for the Co-ordination of Humanitarian Affairs (OCHA), which concludes the best way to address a growing number of global humanitarian crises is for aid agencies and other actors to anticipate, rather than react to, such emergencies — and to prevent them before they occur.
Traduction - français Éviter le danger d’une vision simpliste de l’aide humanitaire
Est-ce que la prévention est le meilleur remède pour nos maux? Pour n’importe quel parent, ceci est évidence dans le sens où, il est préférable d’atténuer les risques autant que possible et de dire à ses enfants de se laver les mains avant de manger pour éviter de tomber malade.
Voilà de judicieux conseils qui ne concernent pas seulement les questions de santé personnelle. Pour ce qui est des opérations d’aide d’urgence, par exemple, l’idée de prendre des mesures aujourd’hui, pour éviter qu’une crise d’envergure ne se produise demain, trouve naturellement un large écho. Cette idée d’une démarche préventive influence de plus en plus la planification de la réponse internationale aux catastrophes. Le raisonnement est simple : pourquoi se précipiter pour répondre aux crises qui se produisent dans le monde alors que l’on peut prendre des mesures maintenant qui permettront de les prévenir.
Cette question est au cœur d’une tendance émergente en matière de planification de l’aide humanitaire. Les interventions humanitaires onusiennes ont pour tâche de développer des capacités pour l’avenir tout en répondant aux besoins actuels. Il semble que la question de la gestion des risques sera également le thème majeur du tout premier Sommet humanitaire mondial qui se tiendra à Istanbul en 2016. L’argument qui sous-tend cette soi-disant nouvelle approche a été exprimé avec le plus d’autorité dans Sauver des vies aujourd’hui et demain, un rapport publié dernièrement par le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (BCAH). Ce rapport conclut que le meilleur moyen de remédier à un nombre croissant de crises humanitaires dans le monde serait que les agences d’aide et les autres acteurs favorisent l’anticipation et non la réaction aux crises, et les préviennent avant même qu’elles ne surviennent.
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Études de traduction
Master's degree - UQAM
Expérience
Années d'expérience en traduction : 12. Inscrit à ProZ.com : Nov 2015.