major épiscopal
italien translation: ufficiale vescovile (ufficiale del vescovo)
| ENTRÉE DU GLOSSAIRE (VENANT DE LA QUESTION CI-DESSOUS) | ||||||
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| 10:03 Oct 23, 2016 |
| traduction français vers italien [PRO] Art/Literary - Histoire | |||||||
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|  Réponse sélectionnée de : AVAT Italie Local time: 23:23 | ||||||
Grading comment
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| Résumé des réponses proposées | ||||
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| 3 +2 | (ufficiale) maggiore del vescovado / dell' episcopio |
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| 5 -1 | vescovo conte |
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| 4 | ufficiale vescovile (ufficiale del vescovo) |
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| Summary of reference entries provided | |||
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| LA CHARGE DE MAJOR ET LA MAJORIE (ou MAYORIE) |
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Réponses
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approbation des pairs (net) : +2(ufficiale) maggiore del vescovado / dell' episcopio Explication : https://books.google.it/books?id=mupNAAAAMAAJ rizzazione dei contrasti tra una parte del consiglio e il vescovo (12), problemi economici (3), ... Per incrementarla si suggerisce: maggiore informazione e soprattutto ... dei rapporti col vescovo, con il consiglio episcopale (costituito da ufficiali di ... agenda.culturevalais.ch/fr/infrastructure/show/214 Le Musée d'art du Valais occupe les châteaux du Vidomnat et de la Majorie. ... officiers de l'évêque, le major et le vidômne, auxquels ils ont d'abord servi de résidences. A la fin du 14e siècle, la Majorie passe à l'évêque de Sion et comte du Valais. Elle devient alors la résidence épiscopale pour quatre siècles et, à ce titre, https://zip.ch/it/city-explorer/sion/Sion. Nel cuore della piana del Vallese e della valle del Rodano, Sion occupa un luogo strategico sin dal IV secolo, quando fu fondato il vescovado. ... come il castello della Majorie, la Maison Supersaxo e la cattedrale Notre-Dame du Glarier. |
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| Reference: LA CHARGE DE MAJOR ET LA MAJORIE (ou MAYORIE) Reference information: . Origine des Mayor La famille Mayor valaisanne est originaire de Saint-Martin. Au début, elle représentait une famille de notables qui a essaimé à Mase, Nax et Bramois. L'origine du nom Mayor viendrait du fait qu'au moyen âge il y avait des personnes qui s'occupaient d'une mayorie. La mayorie est à l'évêché ce que la châtellenie est au roi. Une mayorie est donc une sorte de juridiction. Le mayor ou maire (du latin major, majoris) était un fonctionnaire dont la charge était souvent héréditaire. Il représentait un seigneur laïc ou ecclésiastique, pour la perception des revenus, la réglementation des poids et mesures, l'exercice de la police et celui de la basse justice. Cette famille exerça la charge de major épiscopal de Suen (St-Martin) dans le Val d'Hérens en Valais du XV au XVIII siècle. La famille Mayor de Nax habitait au Creux de Nax dès 1852 au moins. A l'époque du moyen âge, la plupart des gens ne portaient pas de nom. C'est par la suite, pour se différencier, que les gens ont porté un nom. Ils choisissaient ce nom par rapport à leur profession, le lieu où ils habitent ou un autre attribut caractéristique. Il arrivait aussi que les hommes prennent le nom de leur femme pour acquérir une noblesse, un domaine, etc... La charge disparut avec la fin de l'Ancien Régime. Le terme a survécu dans le français maire, dont le sens moderne est issu de la Révolution française, et dans l'allemand Kirchmeier (administrateur paroissial). Mayor, Meier et ses variantes sont en outre des patronymes très répandus en Suisse. Il existe notamment plusieurs familles Mayor dans le canton de Vaud, les Mayor de Grandcour, ... http://www.mayor.ch:8080/Mayor/zwook/originedesmayor Page 53 Dès cette époque, la ville de Sion avait ses bourgeois et son administration municipale. Deux officiers y rendaient la justice au nom de l’évêque, haut seigneur de la ville, le major et le vidame; quelquefois ces deux offices étaient réunis sur la même tête. Le major, en temps de guerre, portait la bannière de l’évêque; le vidage rendait la justice en appel aux sujets et juridictionnaires du prélat, et unissait à sa charge de juge celle de chef de la noblesse valaisanne. S’il survenait quelque difficulté pour les feudataires, la cour du major ou du seigneur respectif en prononçait en première instance, et la partie qui se croyait lésée pouvait en appeler à l’évêque. Page 355,356 Ces deux terres furent successivement possédées par les Zaeringen, puis par Buschard, évêque de Lausanne et Ermanfroi, évêque de Sion auxquels l’empereur Henri les avait accordées en récompense de leur dévouement à sa couronne. Les premiers princes de la maison de Savoie en étaient en possession lorsque Amédée III les donna à l’évêque Guérin vers 1138, et en déliant les habitants du serment de fidélité qu’ils lui avaient prêté, il leur ordonne de regarder à l’avenir le prélat et ses successeurs comme leurs seigneurs légitimes. Un major y rendit dès lors la justice au nom des l’évêques. Page 347 Ardon et Chamoson étaient une châtellerie de l’évêque, qui y avait un vidame et un major ; https://books.google.it/books?id=oAdCAAAAcAAJ&pg=PA88&lpg=PA... La tradition écrite nous apprend que Rarogne a appartenu aux évêques de Sion dès l'époque du royaume de Haute-Bourgogne. Ce sont probablement eux qui ont fait construire au XIe siècle ou au début du XIIe siècle le premier ouvrage défensif sur le rocher dominant le village. Dans cette région, les droits seigneuriaux étaient administrés par un vidomne, qui sans doute a habité la tour érigée vers la fin du XIIe siècle. Il est prouvé qu'à partir du XIIIe siècle, cet office fut détenu par les seigneurs de Rarogne. LE MAJORAT, primitivement subordonné au vidomnat et se limitant au recouvrement des revenus épiscopaux, vit son importance croître tout au long du XIIIe siècle et comprit même, finalement, l'exercice de la haute et de la basse justice. Face au vidomne, qui ne résidait que rarement sur place, le major devint à Rarogne le plus haut représentant du pouvoir temporel de l'évêque; le signe tangible de son autorité, c'était le corps de logis défensif érigé au début du XIVe siècle dans l'enceinte fortifiée. Le prélat, qui par la suite séjourna plus d'une fois dans ses salles d'apparat, avait certainement eu son mot à dire lors de sa construction. Au début du XIV siècle, la charge de major passa à titre de fief héréditaire aux mains de la famille Asperlin (ou Esperlin). Le corps de logis, d'où celle-ci exerçait ses droits seigneuriaux, était probablement considéré comme faisant partie du fief épiscopal. Comparés aux majors, les seigneurs de Rarogne, investis du vidomnat, ne jouèrent, à la fin du Moyen Age, qu'un rôle de second plan dans le domaine seigneurial de l'évêché. Ce qui ne les empêcha pas d'acquérir une importance considérable dans l'histoire du Valais. Une fois au service de l'évêque, les de Rarogne développèrent leur pouvoir et, grâce à la formation d'une propre seigneurie en Valais, parvinrent à se créer une situation relativement autonome. http://www.swisscastles.ch/valais/raron/ ——— Références it. : Questo giorno segna una data molto importante per l'intera popolazione delle nostre valli perché Adalgerio da Villalta, eletto vescovo di Feltre nel 1257, diede a Primiero degli statuti simili a quelli concessi a Feltre. Secondo questo documento la Valle di Primiero costituiva una comunità con proprio consiglio e statuto e l'ufficiale del vescovo doveva amministrare la giustizia con il consiglio dei… http://www.radioprimiero.it/almanacco/9-marzo.html pag. 170 l’ufficiale del Vescovo, avendo ordinato la informazione contro di loro, e fattili citare personalmente, essi ne appellarono, come di abuso, al Parlamento di Parigi… https://books.google.it/books?id=VQe5EMU3gBUC 5. Avendo il vescovo cotanto potere civile, dovea pure per esercitarlo mantenere appositi ufficiali. Noi terremo conto solo di quello, di cui s'ha memoria durante il presente periodo. Egli è il giudice a contratti, che usava il seguente titolo : « iudex ad contractus terrarum maioris ecclesiae aprutinae ». Cotesto giudice, come ognun sa, serviva ad autenticare maggiormente gli atti rogati dai notai. Nella nostra regione esisteva quasi solo quello vescovile, di che assegna il Palma (3) la ragione nell'essere tal giudice creato dall'autorità ch'era la più stabile di questi luoghi e insieme riconosciuto in tutta la diocesi. Moltissimi instrumenti degli archivii teramani trovansi rogati, durante questo periodo, da simile ufficiale vescovile e per saggio citeremo quelli dei 31 marzo del 13 57 (4), dei 7 luglio del 1359 (5) e dei 29 dicembre del 1363 (6), tutti fatti alla presenza del nobile Tuzio di Melatino, giudice a contratti http://www.abruzzoinmostra.it/progetto-ocr/comune-teramano/P... . |
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